Grâce à l’enregistrement des témoignages de vie, on peut conserver et transmettre le précieux patrimoine oral d’un grand nombre, sans se limiter aux autobiographies de quelques personnalités.

On prend des nouvelles de l’Eglise aux Philippines, plus grand pays catholique d’Asie. C’est au 16ème siècle que le christianisme y est arrivé avec les espagnols. Dans cet archipel de 7000 îles, la vie ecclésiale est très diverse. Alors que le cardinal Sin avait joué un rôle majeur dans la démocratisation sous la dictature de Ferdinand Marcos, c’est pourtant son fils, Marcos Jr, qui est aujourd’hui au pouvoir. Pourquoi ce paradoxe, dans un pays où 9 philippins sur 10 sont catholiques ? Pourquoi l’Eglise est-elle moins audible dans la société ? Comment envisage t’elle la synodalité ? Face à des défis immenses : faim, pauvreté, corruption, ou encore enjeux climatiques...à quoi sont aujourd’hui appelés les catholiques philippins ? Eclairage avec le père Bernard Holzer, Assomptionniste aux Philippines.

Marie de Magdala était-elle la pècheresse au longs cheveux qui répandit du parfum aux pieds du Christ ? Rien n’est moins sûr. Qu’importe ! C’est désormais sous ces traits voluptueux et pénitents que « l’apôtre des apôtres » nous apparaît, d’un tableau à un autre. Le baroque lui fit souvent prendre la pose, pour des peintures où contrastent le luxe et les vanités, l’ombre et les couleurs.

En août 2022 s’est tenu à Paray-le-Monial (Bourgogne) dans le cadre des sessions de la communauté de l’Emmanue une conférence sur le thème de "l’Appel à la mission" avec les Pères.... et Lionel Dalle. Les deux intervenants nous entretiennent de l’importance de l’évangélisation dans nos sociétés contemporaine et des moyens à mettre en oeuvre pour accomplir la mission aujourd’hui.

Quiconque a ouvert la Bible reconnaît à ses auteurs une incontestable qualité de poètes ; ils étaient, faut-il le dire, favorisés sur ce point par la beauté des paysages de la Terre Sainte qui leur offraient un réservoir d’images inépuisable. Parmi ces images, le phénomène de la germination devait connaître une fortune étonnante : la croissance, discrète, invisible, impalpable, mais sûre et parfois démesurée, d’une humble graine enfouie dans la terre n’est-elle pas une formidable leçon d’espérance ? La germination s’imposa comme métaphore de la lente maturation du projet de Dieu.

Mgr Luc Meyer, évêque de Rodez et Vabres depuis 2022, est pour la première fois l’invité de "La vie des diocèses" sur KTO, pour parler de l’actualité et des enjeux pastoraux de l’Eglise catholique en Aveyron. REPORTAGE : Ce samedi 27 avril, tous les fidèles du diocèse étaient invités au rassemblement « Kerygm’Aveyron », à Rodez, qui s’inscrit dans la démarche Kerygma, souhaitée par les évêques de France dès octobre 2022, autour de la nouvelle évangélisation. Après le grand rassemblement vécu à Lourdes en octobre 2023, auquel a participé une délégation aveyronnaise de 68 personnes, c’est l’heure de s’approprier localement cette question de la première annonce de l’Evangile. INTERVIEW : Depuis Aubrac jusqu’à Livinhac en passant par Saint Côme d’Olt, Espalion, Estaing, Conques et Decazeville, le diocèse de Rodez est traversé par le chemin de Saint Jacques de Compostelle. Chaque année, entre 300 et 400 000 personnes - pèlerins, marcheurs ou simples touristes - passent à Conques, étape emblématique du chemin. Frère Damien, prieur de la communauté des Prémontrés, également curé de la paroisse Saint Jacques Dourdou et Dazes, nous parle de cet accueil inconditionnel et de sa dimension évangélisatrice. Pendant cette émission présentée par Honorine Grasset, Mgr Luc Meyer revient sur sa découverte de l’Aveyron et les initiatives majeures de ces derniers mois. Il évoque également l’importance de l’Enseignement catholique et de la pastorale pour les jeunes.

Cette semaine, le père Thibaut de Rincquesen répond en 3 minutes à la question de Florent : « Quelle est la signification du nombre 40 dans la Bible ? » Vous pouvez envoyer vos questions à pourquoipadre@ktotv.com

Figure souvent méconnue de nos jours, Léon Bloy fut pourtant une figure flamboyante de la littérature française du XIXe siècle. Profondément catholique, ne vivant que pour l’absolu et détestant le « Bourgeois » - ce « cochon qui voudrait mourir de vieillesse » - son oeuvre est marquée par un style violent, éclatant, volontiers pamphlétaire. On ne saurait, toutefois, minimiser l’incroyable drôlerie qui se dégage des critiques de ses congénères. « Dans son rapport à l’absolu et à la foi, Bloy s’est rendu insupportable à ses contemporains, avec beaucoup de méthode, d’énergie et de compétence. Mais, Bloy, au fond, c’est un peu le sel. S’il n’y a pas de Léon Bloy, avec quoi salera-t-on ? », s’amuse François Angelier, auteur et producteur de l’émission « Mauvais genre » sur France Culture. Ce nouveau numéro de La Foi Prise au Mot présente le portrait d’un esprit tourmenté mais aussi profondément mystique pour qui tout était symbole.

Grâce à l’enregistrement des témoignages de vie, on peut conserver et transmettre le précieux patrimoine oral d’un grand nombre, sans se limiter aux autobiographies de quelques personnalités.

Alors que la flamme olympique est arrivée à Marseille le 8 mai et entame son tour de France, l’Eglise catholique se mobilise elle aussi pour accompagner spirituellement le monde du sport à l’occasion des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024. Le sport et la foi partagent plus de valeurs qu’on ne croit, mais s’aiguillonnent aussi l’une l’autre. Quel rapport à notre corps, à la performance, au bien-être ? Mais aussi à l’effort, au défi, à l’esprit d’équipe ? Cette réflexion interroge autant les athlètes que les sportifs de l’ordinaire. La rédaction de KTO propose un dialogue sans langue de buis, avec Mgr Emmanuel Gobilliard (évêque de Digne et représentant de l’Église catholique pour les Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024), Jason Nioka (diacre et responsable de la formation des aumôniers du Village Olympique de Saint-Denis), Elias Semaan (escrimeur paralympique franco-libanais) et Cécile Chuzel (déléguée diocésaine à l’Année Sport et Foi dans le diocèse de Saint-Denis). Une émission présentée par Etienne Loraillère. Pour contribuer au débat, envoyez vos questions et témoignages à sanslanguedebuis@ktotv.com

A 7h25, KTO retransmet la messe chaque lundi, et les Laudes suivies de la messe du mardi au samedi, en direct de la basilique Notre-Dame de la Garde à Marseille. Cette retransmission quotidienne est proposée grâce au recteur de la basilique Notre-Dame, le père Olivier Spinosa, et à l’archevêque, Mgr Jean-Marc Aveline, qui ont bien voulu mettre leurs moyens en commun avec ceux de la chaîne de télévision catholique. La Bonne Mère veille ainsi, plus que jamais, sur la ville, les deux rives de la Méditerranée et le monde entier.

Il y a deux ans, l’Abbaye de Maredsous fêtait ses 150 ans en présence du Roi et de la Reine des Belges. Ce qui lui vaut un tel honneur tient au fait qu’elle est l’une des plus importantes abbayes bénédictines de Belgique, connue grâce à sa culture, son histoire, ses illustres moines, sa Bible, mais aussi pour ses activités commerciales. L’Abbaye a eu la chance d’avoir parmi ses moines le bienheureux Dom Columba Marmion, 3ème Abbé, béatifié par Jean-Paul II lors du Jubilé de l’an 2000, qui a marqué l’Église par ses écrits et son charisme spirituel. La recherche de Dieu est au centre de la vie des moines de Maredsous. Ils suivent la Règle de saint Benoît, datant du VIème siècle. Leur existence est partagée entre la prière, le travail et l’accueil. L’Abbaye gère également un établissement scolaire, cas devenu assez rare en Europe francophone. Avec le tourisme, l’abbaye connait un certain succès d’évangélisation. Tous les ans, le centre saint Joseph reçoit 600.000 visiteurs. Comment les frères belges recherchent-ils Dieu dans ce lieu particulier ? Qui sont ces moines ? Pourquoi l’Abbaye de Maredsous rayonne-t-elle tant ? Une coproduction KTO/ZORN PRODUCTION 2023 - Réalisé par Jean-Baptiste Farran

Jésus a changé notre perspective en nous donnant la parabole du Bon Samaritain. Il ne s’agit pas tant de chercher qui est notre prochain mais de se faire soi-même prochain de celui qui est laissé de côté, d’un blessé de la vie. Seigneur, fais que je ne passe jamais à côté de quelqu’un qui souffre sans l’aider au moins un petit peu avec ingéniosité et coeur. Je te remercie pour tous ceux qui sont de « bons samaritains » pour moi.

On prend des nouvelles de l’Eglise aux Philippines, plus grand pays catholique d’Asie. C’est au 16ème siècle que le christianisme y est arrivé avec les espagnols. Dans cet archipel de 7000 îles, la vie ecclésiale est très diverse. Alors que le cardinal Sin avait joué un rôle majeur dans la démocratisation sous la dictature de Ferdinand Marcos, c’est pourtant son fils, Marcos Jr, qui est aujourd’hui au pouvoir. Pourquoi ce paradoxe, dans un pays où 9 philippins sur 10 sont catholiques ? Pourquoi l’Eglise est-elle moins audible dans la société ? Comment envisage t’elle la synodalité ? Face à des défis immenses : faim, pauvreté, corruption, ou encore enjeux climatiques...à quoi sont aujourd’hui appelés les catholiques philippins ? Eclairage avec le père Bernard Holzer, Assomptionniste aux Philippines.

Quiconque a ouvert la Bible reconnaît à ses auteurs une incontestable qualité de poètes ; ils étaient, faut-il le dire, favorisés sur ce point par la beauté des paysages de la Terre Sainte qui leur offraient un réservoir d’images inépuisable. Parmi ces images, le phénomène de la germination devait connaître une fortune étonnante : la croissance, discrète, invisible, impalpable, mais sûre et parfois démesurée, d’une humble graine enfouie dans la terre n’est-elle pas une formidable leçon d’espérance ? La germination s’imposa comme métaphore de la lente maturation du projet de Dieu.

KTO se mobilise pour permettre au plus grand nombre de suivre les célébrations quotidiennes des messes. Suivez en direct, tous les jours à 10h, la messe diffusée depuis Lourdes.

Grâce à l’enregistrement des témoignages de vie, on peut conserver et transmettre le précieux patrimoine oral d’un grand nombre, sans se limiter aux autobiographies de quelques personnalités.

Au coeur du Liban, sur les flancs de la "Vallée Sainte" où les Maronites s’installèrent autrefois pour fuir les persécutions, vit le dernier ermite, un Colombien. Depuis 20 ans, l’homme vit au rythme des saisons et de ce que la terre lui offre. Il reçoit quelques visiteurs et rend de rares visites à son monastère d’origine. Qu’est-il venu chercher dans cette solitude qui effraie tant le monde d’aujourd’hui ? A-t-il trouvé ce pays décrit par Khalil Gibran le grand poète de cette vallée sacrée ? Cette recherche est-elle une fuite du monde ou, au contraire, à travers elle, le porte-t-il par sa prière ? S’isole-t-il pour se trouver ou trouver Dieu? Dans les rares paroles de frère Dario et les témoignages de ceux qui l’ont rencontré, qu’il s’agisse de jeunes en quête de sens ou de ses frères en religion, se dessine peu à peu la vocation de ce moine anachorète, dont le grand âge (86 ans) amène à se questionner sur la mort. Un film sélectionné au Create Moving festival de Vancouver.UNE COPRODUCTION KTO/PRONTO PROD 2021 - Réalisée par Sylvain Girard

Beaucoup de familles répondent aujourd’hui à l’appel de l’Eglise en s’engageant dans des associations de coopération. Mais avant de partir, beaucoup de questions peuvent se poser aux futurs volontaires. Comment bien discerner son appel à la mission ? Que part-on chercher ? Quelles sont les attentes, craintes et appréhensions ? Qu’est-ce que la mission peut apporter à sa vie de couple et de famille ? Comment prendre conscience des renoncements que cela implique ? Comment s’assurer que cette démarche n’est pas une fuite ? Témoignage et points de repère avec Christine Lamolinerie, psychologue et vice-présidente de la Délégation Catholique pour la Coopération.