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  • 26/10/2018
    Sophie Cluzel - Face aux Chrétiens
    Sophie Cluzel, secrétaire d’Etat à la personne handicapée est l’invitée de l’émission Face aux chrétiens jeudi 25 octobre. Elle explique notamment comment, sur le handicap, le gouvernement veut transformer l’école. Ecole : "nous allons faire rentrer le médicaux social à l’école" Au sujet de l’accueil des élèves handicapés, la ministre déclare : "Nous allons mettre tous les moyens dans l’école" pour améliorer le statut et les perspectives de carrière des "accompagnants" d’élèves handicapés mais aussi pour adapter les établissements. Dans " l’école de demain" il y aura des "salles de rééducation. Le médico-social sera au service des parcours en milieu ordinaire au sein de l’école. C’est cette école inclusive qu’il nous faut construire" Hôpital psychiatrique "Il faut en faire sortir les autistes adultes" Sophie Cluzel reconnaît la crise de l’hôpital psychiatrique. "C’est indiscutable qu’il y a des difficultés. Il faut pouvoir faire sortir de ces hôpitaux des gens qui ont une prise en charge inadaptée comme les autistes adultes". Pour y parvenir, la ministre propose un meilleur "diagnostique" des besoins et de "développer les habitats inclusifs" pour y accueillir ceux qui n’ont pas leur place à l’hôpital. Handicap : "c’est le fer de lance de la transformation de la société". Interrogée sur le remaniement, elle assure n’avoir jamais envisagé son départ du gouvernement : "Je suis totalement dans ma mission. Je porte un projet de transformation sociale et sociétale. Le handicap est le fer de lance de la transformation de la société."
  • 19/10/2018
    Le Synode se préoccupe des jeunes migrants
    Les pères synodaux et les jeunes étaient réunis toute cette journée du vendredi 19 octobre 2018 en groupes de travail linguistiques. Comme depuis le début du mois, la question des migrations s’est invitée dans les discussions : entre accueil des réfugiés et encouragement des jeunes à rester dans leurs pays d’origine pour bâtir la société de demain.
  • 04/10/2018
    Posez vos questions en direct aux évêques à Rome pour le Synode
    Du 3 au 28 octobre se tient à Rome le synode sur les jeunes, la foi et le discernement vocationnel. KTO se mobilise, et ouvre un espace de dialogue à tous ceux qui ne peuvent se rendre au Vatican. Dialoguez en direct avec les pères synodaux lors de nos deux émissions spéciales vendredi 5 et 19 octobre, à 20h40 en direct depuis Rome. Suivez et commentez en direct sur Youtube et Facebook, réagissez avec #MaQuestion sur les réseaux sociaux, ou envoyez vos questions/témoignages par email à maquestion@ktotv.com
  • 20/09/2018
    PMA : opposition des évêques | Suicide du père Sèbe | Débat : le cléricalisme
    -Suicide d’un jeune prêtre dans le diocèse de Rouen, Mgr Lebrun, archevêque, exprime sa douleur et apporte des précisions sur l’enquête. -Les évêques de France disent leur opposition à la PMA. Ce soir ils ont publié une déclaration commune pour rappeler que la procréation et la gestation font partie de la dignité humaine. -L’Union Européenne et le droits des peuples d’Amazonie. Aujourd’hui, des amazoniens sont venus échanger avec des représentants des institutions européennes, à l’initiative de la COMECE, la Commission des Episcopats de la Communauté européenne, dans la perspective du prochain synode sur l’Amazonie. -Construction d’un sanctuaire Notre-Dame de Lourdes en Jordanie, Mgr Brouwet, évêque de Tarbes et Lourdes y célébrera la messe demain. L’occasion pour lui de s’immerger dans la réalité locale. -Chronique du père Cédric Burgun : l’importance de la sauvegarde du patrimoine. -Cléricalisme. Le contexte de la crise actuelle est-il le meilleur moment pour aborder cette question ? Débats avec Gérard Leclerc de France Catholique et Dominique Greiner de La Croix.
  • 25/08/2018
    Le pape à la rencontre des familles du monde entier à Dublin
    Des milliers de personnes se sont pressées aujourd’hui dans les rues du centre de Dublin pour tenter d’apercevoir le pape venu en Irlande clôturer la 9ème Rencontre Mondiale des Familles. Dans l’après-midi, il a eu une première rencontre avec des familles à la pro-cathédrale Sainte-Marie. Ce soir, nouveau rendez-vous avec le Festival des familles au stade Croke Park, et demain, ce sera la messe d’envoi. Pour les irlandais, la venue du pape suscite, selon les générations, des réactions variées. Il est en tout cas très attendu sur la question des abus sexuels dans l’Eglise. Le père Denis Metzinger, responsable de la pastorale familiale pour le diocèse de Paris, nous donne un premier bilan du congrès pastoral et Paul de Guigné, secrétaire général des AFC, nous partage les témoignages qui l’ont marqué pendant ces journées.
  • 24/08/2018
    Les catholiques irlandais se préparent à recevoir le pape
    Les participants ont poursuivi leurs travaux avant l’arrivée du pape demain. Des familles de régions et pays différents profitent de ces journées pour partager sur ce qu’elles vivent chez elles. L’un des thèmes de ce jour: le dossier douloureux des abus sexuels. Pour le Primat de toute l’Irlande, Mgr Eamon Martin, les irlandais attendent des gestes forts du pape sur ce sujet, mais il rappelle que le pape vient aussi encourager toutes les familles dans un pays traversé par des difficultés. Et puis on retrouvera Antoine Renard, président de la Fédération des AFC européennes. Rencontre mondiale des familles 2018 du 24/08/2018.
  • 24/07/2018
    La liberté et l’indissolubilité
    Après avoir réfléchi sur la grâce du sacrement du mariage, il est bon de se pencher sur certains éléments indispensables qui font qu’il y a sacrement lors du consentement mutuel entre deux chrétiens : la liberté, l’indissolubilité, la fidélité et l’ouverture à la vie. La dignité de l’être humain et la grandeur de l’amour exigent des deux futurs époux qu’ils agissent selon un choix conscient et libre. L’indissolubilité du mariage n’est pas une exigence uniquement religieuse ; elle est un bien majeur pour les époux et les futurs enfants : elle exprime leur amour.
  • 15/07/2018
    Evangéliser sobrement : Angélus du 15 juillet 2018
    En cette 15ème semaine du temps ordinaire, le Saint-Père a commenté l’Évangile selon Saint-Marc (6, 7-13) quand Jésus appela les Douze pour les envoyer en mission, deux par deux, «une sorte de stage», affirme le Pape, «pour apprendre ce qu’ils seront appelés à faire après la résurrection, avec la puissance de l’Esprit Saint». Jésus ne manque pas de donner des consignes au Douze alors qu’ils sont au tout début de leur activité missionnaire. Le Pape s’arrête ainsi sur «le style missionnaire» dans sa catéchèse. La mission a un centre, Jésus Le disciple missionnaire a, avant tout, un centre de référence, qui est la personne de Jésus. Le récit l’indique en utilisant une série de verbes qui ont Jésus pour sujet. Ainsi la motivation et les actions des Douze «semblent irradier d’un centre», explique le Pape, dans leurs actions missionnaires est reproposée la présence et l’oeuvre de Jésus. «Cela montre que les apôtres n’ont rien de propre à annoncer, ni des capacités propres à démontrer, mais ils parlent et agissent en tant qu’envoyés, messagers de Jésus».Cet épisode évangélique concerne tous les baptisés là où ils vivent, et non pas uniquement les prêtres, poursuit François. Et pour eux aussi «cette mission est authentique seulement lorsqu’elle part de son centre immuable qu’est Jésus». François rappelle qu’il ne s’agit pas de «l’initiative de fidèles individuels, ni de groupes, ni même de grands rassemblements, mais c’est la mission de l’Église unie de manière inséparable à son Seigneur. Aucun chrétien n’annonce l’Évangile de manière propre, mais uniquement lorsqu’il y est invité par l’Église qui a en reçu le mandat du christ en personne». Évangéliser sans appuis, ni faveurs La seconde caractéristique du style missionnaire est «un `visage’ qui consiste en la pauvreté des moyens». Son équipement répond à un critère de sobriété. Les Douze reçoivent l’ordre de ne rien prendre d’autre que leur bâton pour la route, pas de pain, pas de sac, pas de pièces de monnaie dans leur ceinture, souligne l’Évangile. «Le Maître les veut libres et légers, sans appuis ni faveurs, sûrs uniquement de l’amour de celui qui les envoie, forts uniquement de Sa Parole qu’ils viennent annoncer». Le bâton et les sandales sont les attributs des pèlerins, parce qu’ainsi sont les messagers du Seigneur. «Ce ne sont pas des managers tout puissants, des fonctionnaires inamovibles, ou des divas en tournée». De ce visage, découle également de la façon dont le message va être reçu. Le Pape avertit les missionnaires : il peut arriver de n’être ni accueillis ni écoutés. «Cela aussi est pauvreté : l’expérience de l’échec». L’histoire de Jésus, qui fut rejeté et crucifié, préfigure le destin de son messager, explique le Pape qui rappelle cependant que «c’est seulement si nous restons unis à Lui, mort et ressuscité, que nous réussissons à avoir le courage de l’évangélisation». Le Pape a enfin prié la Vierge Marie, première disciple et missionnaire de la Parole de Dieu, pour qu’elle aide l’ensemble des fidèles à répandre dans le monde le message de l’Évangile, avec «une allégresse humble et radieuse, au-delà de tout rejet, de toute incompréhension ou tourment ». Saluts Après la prière de l’Évangile, le Pape a salué les pèlerins de son diocèse, d’Italie et des différentes parties du monde : les familles, les groupes paroissiaux, les associations. Il a en particulier salué les soeurs du Très Précieux Sang de Monza, les novices des Filles de Marie auxiliaire, et les jeunes polonais du diocèse de Pelpin qui participent à un cours d’exercices spirituels à Assise.
  • 27/06/2018
    Irlande: terre toujours catholique ?
    Dublin accueillera en août la Rencontre Mondiale des Familles. L’occasion pour le pape François qui viendra clôturer l’évènement, d’encourager les catholiques irlandais à redynamiser une Eglise en perte de vitesse depuis les affaires de pédophilie et confrontée, dans certaines régions, à une forte sécularisation. Quels sont les défis pour les familles en Irlande ,qui a adopté fin mai un référendum libéralisant l’avortement? Quelles sont les priorités pastorales? Comment construire les paroisses de demain et former des laïcs engagés, dans un contexte de baisse des vocations? Eclairage avec l’invité d’Eglises du Monde, le père Hugh Connolly, l’aumônier des Irlandais à Paris.
  • 27/06/2018
    La vie chrétienne est un chemin de libération : Audience générale du 27 juin 2018
    Audience générale: la vie chrétienne est un chemin de libération C’est sous un soleil resplendissant que le Pape a tenu l’audience générale hebdomadaire, Place St Pierre, poursuivant sa catéchèse sur les commandements de Dieu. La vie chrétienne n’est pas l’obéissance contrainte à une série d’obligations, mais elle est une réponse reconnaissante à la générosité du Père, a affirmé en substance le Saint-Père «Je suis le Seigneur ton Dieu qui t’ait fait sortir du pays d’Egypte, de la maison d’esclavage» (Ex 20, 2): avec cette phrase qui inaugure le Décalogue, Dieu rappelle ce qu’Il est, et ce qu’Il a accompli par amour pour son peuple. «Il n’est pas quelqu’un d’étranger: il est ton Dieu», a assuré le Pape. Cette affirmation «éclaire le Décalogue et révèle le secret de vie chrétienne» qui est avant tout la réponse reconnaissante à la bonté du Père. La vie chrétienne en effet, n’est pas basée sur la force de sa propre volonté; ni davantage sur le sens du devoir. «Comment un jeune peut-il désirer être chrétien si nous partons d’obligations ?», s’interroge le Pape, pour qui la formation chrétienne s’assimile plutôt à «un chemin de libération», grâce aux commandements. Il s’agit d’entrer en relation avec le Seigneur, de se laisser aimer et sauver par Lui: «d’abord la Mer Rouge, puis le Mont Sinaï». Crier vers Dieu Aussi, la gratitude est-elle un «trait caractéristique du coeur visité par l’Esprit-Saint», car «pour obéir à Dieu il faut avant tout se rappeler de ses bienfaits». Un croyant mû uniquement par le sens du devoir, qui n’a pas encore fait l’expérience de la libération, a une spiritualité d’esclave, pas de fils. A nous donc, de lancer ce cri vers Dieu, «de lui demander d’être libérés de l’égoïsme, du péché». Car l’action salvifique de Dieu est une réponse à ce cri. Il l’attend, car Il veut précisément briser nos chaines. «Dieu nous a appelés non pour être oppressés, mais pour être libres, vivre dans la gratitude, obéissant avec joie à Celui qui nous a tant donné».Juste avant l’audience, le Pape est allé saluer les personnes malades, réunies en salle Paul VI, d’où elles ont pu ensuite suivre l’audience, à l’abri du soleil. Parmi elles, des membres de la délégation de l’organisation «Special Olympics », une compétition sportive pour des personnes atteintes d’un handicap mental, et qui fête ses 50 ans d’existence.
  • 20/06/2018
    La loi de Dieu ne doit pas oppresser : Audience générale du 20 juin 2018
    La Loi de Dieu ne doit pas oppresser mais libérer Le Pape François a poursuivi ce mercredi matin sa série d’enseignements sur les commandements de Dieu, en invitant à comprendre ce qu’ils impliquent dans la relation entre les hommes et leur Créateur. «Dans la Bible, les commandements ne vivent pas pour eux-mêmes, mais font partie d’un rapport, d’une relation», a expliqué le Pape. La Bible ne parle pas des «Dix commandements», un terme pourtant utilisé dans la mémoire commune, mais elle évoque les «Dix paroles» de Dieu. «Le commandement est une communication qui ne demande pas le dialogue. La parole, au contraire, est le moyen essentiel de la relation comme dialogue. Dieu le Père crée par moyen de sa parole, et son Fils est la Parole faite chair.» Il s’agit d’une démarche relationnelle de Dieu, comme dans la communication humaine : «Quand quelqu’un parle à notre coeur, notre solitude finit», a expliqué le Pape. La Loi de Dieu n’est donc pas du tout l’oeuvre d’un «despote qui interdit et contraint», mais au contraire «l’attention d’un papa qui est en train de prendre soin de ses petits et les protège de l’autodestruction». Dieu est «un Père», un Père qui nous aime tous, a insisté le Pape. L’Esprit Saint ne doit pas mener à «une vie fait de devoirs et d’obligations, ou bien à une réaction violente de refus». Il faut donc accueillir la Parole de Dieu comme un cadeau, car «Jésus est venu nous sauver avec sa Parole, et non pas nous condamner». «Les gens se rendent compte si un chrétien raisonne comme un fils ou comme un esclave», a remarqué François. «Les commandements sont le chemin vers la liberté, parce qu’ils sont la parole du Père qui nous rend libres dans ce chemin.» Le Pape a martelé que «le monde n’a pas besoin de légalisme», mais de «chrétiens avec un coeur d’enfants» de Dieu. Avant l’audience, le Pape a salué en Salle Paul VI un groupe de pèlerins atteints de la maladie de Charcot, à l’occasion de la Journée mondiale consacrée à cette maladie. Dans son adresse aux pèlerins de langue allemande, le Pape a aussi invité à prier pour son voyage oecuménique à Genève.
  • 24/05/2018
    Irlande et avortement, l’Eglise et la finance, Démission des évêques chiliens
    La démission de tous les évêques chiliens après les scandales d’abus sexuels au Chili a secoué toute l’Eglise. En quoi cet acte peut-il être un tournant salutaire ?Dans le dossier de ce jeudi, Marie-Yvonne Buss, rédactrice en chef à Pèlerin et Gérard Leclerc, éditorialiste à France Catholique échangent sur ce sujet délicat mais incontournable. Dans le journal, nous nous intéressons largement au référendum sur la libéralisation de l’avortement qui se tient demain, vendredi, avec une question : quels sont les enjeux pour le pays et pour l’Europe ? Dans cette édition, des financiers chrétiens saluent le document publié il y a quelques jours par le Saint-Siège. Nous revenons aussi sur les annonces faites pour les années à venir par plusieurs diocèses, à l’occasion de la Pentecôte. Comme chaque jeudi, découvrez la revue de Presse. Cette semaine, le Père Venard propose une chronique enregistrée depuis Lourdes, au Pèlerinage Militaire International.
  • 15/05/2018
    Le Péché et les effets de la confession
    Pour commettre un péché, il faut deux conditions principales : il faut savoir ou penser que l’acte que je commets est un mal ; et il faut que je le fasse librement. Pour qu’il y ait péché grave, il faut que le contenu du péché soit grave. Certains actes sont toujours intrinsèquement graves, comme tuer quelqu’un par exemple. D’autres ne le sont que suivant les circonstances. Face au péché, la confession est une manière de nous remettre dans l’amour de Dieu, des autres et de nous-mêmes. C’est une véritable libération, une véritable « résurrection spirituelle », nous réconciliant avec Dieu et nous remettant en alliance avec lui. La confession est une rencontre personnelle avec le Christ, comme quand, dans l’Évangile, un pécheur le rencontrait et découvrait sa bonté et sa miséricorde.
  • 05/05/2018
    Fête d’obligation
    « Fête d’obligation ». Quelle locution étrange ! Pourquoi serait-on obligé de se rendre à une fête quelconque ? L’Église obligerait-elle ses fidèles à venir à la messe ? Ne sommes-nous plus libres de nos choix et de nos actions ? Evidemment si ! Bienvenue dans Le Quèsaco qui va répondre, cette semaine encore, à toutes vos questions, et même au-delà...
  • 20/04/2018
    Jean-Marie Bockel
    Jean-Marie Bockel, sénateur UDI du Haut-Rhin est l’invité de « Face aux chrétiens » jeudi 19 avril 2018. Elu local alsacien depuis plus de 20 ans, et « catholique assumé », JM Bockel reprend le mot du pape François appelant les Etats à la « prudence ». Car « la non gestion de l’immigration peut créer des îlots de chaos ». Sur le délit de solidarité, JM Bockel « respecte les engagements de certains envers nos frères en humanité », mais accepte la contradiction avec la politique que doit mener l’Etat. Même s’il soutient la réforme constitutionnelle, JM.Bockel constate que E. Macron « bouscule les corps intermédiaires » : « S’il met à mal le Parlement, ça se paiera un jour. » Même s’il convient volontiers que « nous devons balayer devant notre porte ». Positivement impressionné par le discours d’E. Macron aux Bernardins, et favorable à sa conception des relations avec les catholiques, JM Bockel se refuse à « considérer le droit à l’enfant comme seul critère du monde de demain ». Mais, pour se prononcer sur la PMA, il attend le débat parlementaire. Il estime que, tout en étant « accueillant envers le monde qui vient », il faut « éviter d’aller, même insidieusement, vers la GPA ».