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  • 10/09/2024
    Soyons constructifs !
     Version podcast disponible
    Dans une période marquée par les postures, les clivages et autres "clashs", il y a urgence à retrouver un esprit de concorde. Chercher le consensus, ou à défaut trouver le compromis c’est le sens de l’engagement des élus, des représentants en général. Si les syndicats arrivent à échanger (et trouver des accords) avec le patronat, les députés en quête de majorité devraient, eux aussi, en être capables ! Pour ce faire, il faut un esprit constructif. Tous les mardis, la Confédération française des travailleurs chrétiens (CFTC) ou les Entrepreneurs et Dirigeants Chrétiens (EDC) proposent une réflexion de fond sur le travail et ses défis, à la lumière de l’enseignement social de l’Eglise. Cette semaine, l’éclairage de Cyril Chabanier, président de la CFTC.
  • 09/09/2024
    #PapeEnOcéanie #Lourdes #Chartres || #SIC du 9 septembre 2024
    À la une dans SIC du 9 septembre 2024 : Le Pape en Papouasie-Nouvelle Guinée pour la deuxième étape de son voyage, Le sanctuaire de Lourdes touché par des inondations, Et l’ouverture du Jubilé des 1 000 ans de la crypte de la cathédrale de Chartres... Mais aussi : La messe de clôture des Holy Games #Paris2024, Les réactions des évêques irlandais au rapport sur les violences sexuelles dans les établissements catholiques, Le Grand Pardon de Notre-Dame de Folgoët dans le diocèse de Quimper, L’installation de Notre-Dame des Clés dans la cathédrale de Poitiers, Une nouvelle paroisse dans l’Oise (diocèse de Beauvais), Les catholiques d’Ille-et-Vilaine rassemblés pour la rentrée diocésaine, Le 1016e Tour du Saint-Cordon dans les rues de Valenciennes, Le renouvellement du Voeu des Echevins à Lyon. Avec SIC, retrouvez en 6 minutes la sélection de l’info catholique du week-end à ne pas manquer !
  • 08/09/2024
    Les béguines
     Version podcast disponible
    Cette semaine, la Foi prise au mot accompagne la venue du Pape en Belgique en présentant l’un des grands moments de l’histoire spirituelle de ce pays : celui des béguines et des bégards. Une forme de spiritualité qui paraît d’une étonnante modernité. Ces laïcs, souvent des femmes, vivaient en communauté mais en conservant leur indépendance, souvent au sein de magnifiques regroupements de maisons, dont certains ont été conservés, comme à Bruges ou à Gand. Quelle est l’origine du mouvement ? Quelle est sa spiritualité ? Quels sont ses échos à travers l’histoire et qu’en reste-t-il aujourd’hui ? "Ce qui choque beaucoup, c’est que ce sont des femmes laïques qui n’ont pas prononcé de voeux et qui restent dans la ville. De sorte qu’elles ont certes des protecteurs mais rencontrent aussi beaucoup d’hostilité dès le départ", analyse Sylvain Piron, historien, directeur d’études à l’EHESS. "Si l’époque est assez sombre, marquée par des changements climatiques, des vagues de peste et des guerres, les béguines, elles, ne sont pas tristes ! Elles développent toute une théologie de l’amour de Dieu qui reprend très largement les termes et les concepts de l’amour courtois. À leurs yeux, il y a donc une courtoisie à l’égard de Dieu mais aussi de la part de Dieu à l’égard des hommes", explique à son tour Jean Devriendt, chercheur à l’Université de Lorraine.
  • 07/09/2024
    La Cène
    Cette fresque, qui fait partie d’un cycle de la Passion figuré sur les murs de la basilique inférieure d’Assise, a beaucoup choqué. Comment pouvait-on mélanger l’un des moments les plus sacrés de la vie de Jésus, le Dernier Repas, et une scène de cuisine ? Ce mauvais goût apparent contribua au fait qu’on douta qu’elle puisse être de la main de Pietro Lorenzetti, le successeur siennois de Giotto. Or, ce jugement à l’emporte-pièce sous-estime la profonde culture chrétienne de l’artiste et ses innovations techniques. Entrons dans l’image...
  • 07/09/2024
    François : "Un peuple qui prie a un avenir"
    En Papouasie-Nouvelle Guinée, la visite du pape François a été marquée ce samedi 7 septembre 2024 par des prises de parole fortes et directes : juste rémunération, arrêt des violences tribales, engagement auprès des périphéries. Ce pays majoritairement chrétien est confronté à une grave crise sociale et une instabilité politique. En fin de journée, le Saint-Père a encouragé les catholiques à être des témoins de courage, de beauté et d’espérance. Résumé de la journée, avec Etienne Loraillère et Ophélie Marien, envoyés spéciaux de KTO à Port Moresby.
  • 07/09/2024
    Pourquoi des saints ?
     Version podcast disponible
    Alors que l’Eglise fête la Toussaint, La Foi Prise au mot propose d’aborder une question en apparence naïve, mais qui se révèle bien plus profonde qu’elle n’y paraît : à quoi servent les saints ? À protéger notre vie comme notre saint patron ? À résoudre les cas désespérés comme sainte Rita ou à retrouver les objets perdus comme saint Antoine de Padoue ? Sont-ce au contraire des modèles de comportements et de foi comme Carlo Acutis ? Mais que dire de ces personnes hors normes, auxquelles personne ne peut jamais espérer ressembler, tant ils ont bouleversé leur époque et peut-être même toute notre civilisation comme saint François d’Assise ? "Ce qui est intéressant, c’est qu’un saint mort, ça n’existe pas ! Par définition ce qui fait le saint, c’est qu’après son existence terrestre, il est vivant auprès de Dieu. Il y a une très forte continuité entre ce que pouvait faire le saint de son vivant et ce qu’il peut faire au ciel auprès de Dieu", souligne Marie-Céline Isaïa, Professeur d’histoire médiévale à l’Université Lyon 3. "La définition et les critères de la sainteté ont bien sûr variés selon les époques. Mais fondamentalement, on retrouve toujours l’idée d’une personne admirée pour sa piété, sa dévotion, en bref sa relation particulière avec Dieu’’, rappelle Damien Labadie, Chargé de recherche au CNRS.
  • 06/09/2024
    Liturgie, Tradition et histoire
     Version podcast disponible
    Cette semaine, La Foi Prise au mot propose de parler de liturgie en posant la question qui fâche : quelle est la messe de toujours ? Est-ce celle qu’on nomme la messe en latin, la messe tridentine, formalisée au 16e siècle ? Ou bien est-ce celle de Paul VI, formalisée dans les années 1960, mais qui inclus d’antiques prières ou des rites très anciens ? Plutôt que de lancer un nouveau dialogue de sourds, cette émission tente de prendre un peu de recul sur les débats qui depuis le concile Vatican II ont agité les esprits, particulièrement en France, en s’intéressant à l’histoire de la liturgie. Comment les différents rites sont-ils nés, et dans quels contextes ont-ils été pratiqués ? "Nous sommes aujourd’hui une civilisation du livre, mais un élément important à prendre en compte, c’est que durant tout le premier millénaire, l’écrit est rare y compris dans l’Église. C’est donc essentiellement la tradition orale qui permet de transmettre les enseignements. Pour autant, il ne faut pas croire que pendant le premier millénaire, on se contente de tout improviser ! La tradition orale ce n’est pas non plus la liberté de tout réinventer selon sa propre fantaisie. Il y a certes une certaine souplesse par rapport à l’écrit, mais il y a aussi une forte continuité dont témoigne les différentes sources." affirme Marcel Metzger, Professeur émérite à l’Université de Strasbourg et spécialiste de l’histoire de la liturgie. "Jusqu’à la fin de la période patristique, autour du VIIe siècle, il n’y a pas vraiment de rupture du point de vue liturgique. Les différences que l’on peut observer sont surtout liées à des adaptations visant à rendre le rite accessible à des populations nouvellement évangélisées issues de cultures différentes. En revanche, à partir de la période mérovingienne, d’authentiques ruptures vont commencer à apparaître à cause des guerres qui perturbent la continuité de la transmission, qui vont entraîner des contradictions avec les enseignements des apôtres. Encore aujourd’hui, nous sommes tributaires de la synthèse qu’ont tenté d’opérer les scolastiques, à partir de compilations de sacramentaires héritées de l’aire mérovingiennes, mais dont on avait perdu le sens véritable." raconte à son tour Laurence Pringuet, Docteure en théologie catholique.
  • 06/08/2024
    Chrétiens d’Irak, 10 ans après Daesh
    Dans la nuit du 6 au 7 août 2014, l’État islamique chasse de la plaine de Ninive 100 000 personnes, pour la plupart des chrétiens mais aussi des yézidis et d’autres minorités. Depuis, certains sont rentrés chez eux, mais il reste à peine 10% du million et demi de chrétiens que comptait l’Irak avant 2014. Avant d’être des nombres, ce sont des personnes, des familles, des histoires singulières. Espèrent-ils rester ? Le pourront-ils ? Quelles sont leurs difficultés et leurs joies ? Quelles sont les attentes des jeunes pour leur pays mais aussi pour leurs églises ? C’est ce que nous vous proposons de découvrir dans ce Hors-les-Murs, 10 ans après Daesh.
  • 05/08/2024
    Les Noces
    Osée a toujours su être un mari trompé. Il a connu le chagrin et la colère, il lui est même arrivé de menacer sa femme de l’abandonner mais il était très attaché à elle et a toujours voulu croire qu’elle lui reviendrait. Sa grande découverte, à travers toutes les péripéties de son mariage, c’est que son existence tout entière est prophétique : son malheur conjugal lui est apparu comme la transposition des relations entre Dieu et son peuple. Il est ainsi le premier prophète à avoir parlé de l’Alliance entre Dieu et le peuple d’Israël en termes d’amour, de fiançailles et même de mariage. Tous les autres prophètes, désormais, parleront des noces entre Dieu et son peuple, puis entre Dieu et l’humanité tout entière.
  • 02/07/2024
    IHEMR - Vivants jusqu’à la mort
     Version podcast disponible
    Les débats sur la "fin de vie" questionnent notre rapport à la vie et à la mort, ce "fait social total". Quelles que soient nos convictions religieuses, philosophiques, éthiques, politiques, ces questions nous obligent, en tant que citoyen, à penser la société que nous voulons demain pour mieux être en humanité : quels droits, quelles responsabilités, quelles solidarités ? Avec David Smadja, philosophe ; Antony Boussemart, co-président de l’Union Bouddhiste de France ; Chems-Eddine Hafiz, recteur de la Grande Mosquée de Paris ; Elie Korchia, président du Consistoire de France ; Christian Krieger, président de la Fédération Protestante de France : Mgr Pierre d’Ornellas ; Carol Saba, porte-parole de l’Assemblée des Evêques Orthodoxes de France. Enregistré le 26 juin 2024 au Collège des Bernardins (Paris).
  • 29/06/2024
    Saint Jean-Baptiste prêchant
    Comment un sujet biblique peut être un prétexte pour parler d’un sujet qui préoccupe les spectateurs ? Par exemple, quel événement politique se cache dans un tableau flamand de la « Prédication de saint Jean-Baptiste » du 17e siècle ? Pourquoi le saint a l’air d’une sculpture antique idéalisée dans une oeuvre italienne ? Olga Popova vous donne les clés de lecture pour comprendre ces tableaux.
  • 28/06/2024
    #NotreDame #Cenco #PapeEnBelgique
    À la une dans SIC du vendredi 28 juin 2024 : Les aménagements intérieurs de la cathédrale de Notre-Dame dévoilés par le diocèse, Une nouvelle présidence pour la CENCO, en République démocratique du Congo, Et deux évêques belges condamnés pour discrimination... Mais aussi : Les logos et devises du prochaine voyage du Pape en Belgique et au Luxembourg, La reconnaissance publique du prieur général des Frères de Jérusalem des préjudices causés par leur fondateur, Les pseudo-apparitions de la Vierge à Trevignano Romano (Italie) réfutées par le Vatican, La rencontre à Tours de Mgr Vincent Jordy avec Mgr Ignace Joseph, patriarche de l’Église syriaque catholique, Le forum international "La réÉvolution des OEuvres de Miséricorde" à Bafia (Cameroun), Le voyage humanitaire de l’aumônier du Pape en Ukraine. Avec SIC, retrouvez en 6 minutes la sélection de l’info catholique de la semaine à ne pas manquer !
  • 28/06/2024
    L’Esprit des Lettres de juin 2024 : Jérôme Alexandre, Haïm Korsia et Fabrice Hadjadj
     Version podcast disponible
    Quelle écologie ? Quel christianisme ? Quelle espérance pour la France ? Votre émission mensuelle du livre spirituel et religieux chahute nos idées. Le théologien Jérôme Alexandre examine avec attention le christianisme, supposé conservateur, et l’anarchisme, supposé antireligieux ; il met au jour des affinités, dont la protestation contre les injustices, l’esprit de désintéressement, la révolte devant les usages destructeurs des pouvoirs, de l’argent et de la peur de l’autre, un même horizon de liberté-libération... (Le christianisme est un anarchisme, Textuel). Le rabbin Haïm Korsia publie « Comme l’espérance est violente », chez Flammarion. « Vienne la nuit, sonne l’heure, les jours s’en vont, nous demeurons : la France. Ce n’est donc pas de la violence des révolutions que je voudrais vous entretenir dans ce livre, mais de la seule qui vaille la peine d’être considérée : celle de l’espérance. » Fabrice Hadjadj fait paraitre « Ecologie tragique » chez Mame. L’écologie, oui, mais laquelle ? « Car si la Nature est puissance de fécondité, elle est indissociable, aussi, de la violence et de la mort. Entre idéalisation excessive et désespoir, entre muséification généralisée et pulsion nihiliste, il s’agit donc de trouver la juste attitude qui donne réellement sa chance à la vie ». L’ennui ne nous guette pas ! Une émission coproduite par KTO, Le Jour du Seigneur et La Procure.
  • 27/06/2024
    Moyen Âge : des théocraties ?
    À la fin du XIIe siècle, Lothaire de Segni, devenu le pape Innocent III, décide d’opérer un changement majeur, qui pourrait pourtant passer pour purement symbolique. Alors que le pape était désigné comme le vicaire de Pierre, Innocent III décide de prendre le titre de Vicaire du Christ. Ce nouveau vicariat donnait bien évidemment une nouvelle dimension à la papauté : une dimension théologique, religieuse naturellement, mais aussi politique. Peut-on alors parler d’avènement d’une théocratie pontificale ? Et qu’entend-on tout précisément par cette expression ? "La théocratie pontificale représente une façon bien particulière d’articuler les pouvoirs religieux et politique à l’époque médiévale. Il ne faut pas imaginer qu’il s’agit du seul modèle, ni même du modèle principal au Moyen Age. Dans cette organisation, le Pape prétend exercer un pouvoir et une domination universelle sur le monde dans toutes ses facettes, en tant que représentant de Dieu sur terre", explique Cécile Caby, Professeur d’Histoire médiévale à Sorbonne Université. "Ce qui peut paraître paradoxal, c’est que si on s’en tient à la définition stricte de la théocratie, où les pouvoirs spirituels et temporels sont confondus, il n’y a jamais eu de théocratie dans le monde chrétien. Les papes n’ont jamais prétendu remplacer les rois, ni diriger leurs armée ou leurs administrations à leur place. En vérité, on parle de théocratie quand les souverains pontifes prennent un certain ascendant en se déclarant juge ultime sur les puissants. Et de fait, à partir d’Innocent III, des rois, et même un empereur, vont être déposés par le siège apostolique", note Julien Théry, Professeur d’histoire médiévale à l’Université Lumières Lyon 2.
  • 24/06/2024
    Amos et la justice devenue folle
    « Ils déclarent bien le mal, et mal le bien ». Cet oracle du prophète Amos n’est pas célèbre, mais il devrait l’être. Je l’appelle « la justice devenue folle ». Si nous le connaissons peu, c’est parce qu’il n’est jamais lu le dimanche. Pourtant certains penseront qu’il ne manque pas d’échos dans la société des hommes partout dans le monde et à toutes les époques de l’histoire, y compris aujourd’hui. Et, si Amos en parle, c’est parce que ce n’était que trop vrai de son temps, c’est-à-dire au huitième siècle av J.C. dans le royaume du Nord (Samarie). Il n’hésitait pas à fustiger les juges en disant : « Ils changent le droit en poison et traînent la justice à terre. »