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  • 28/08/2018
    Le temps dans la perspective chrétienne
    Conférence du Forum Zachée par Soeur Marie-Anne Leroux, Oblate bénédictine, auteur d’un « Petit traité sur le temps à vivre » (éd. Salvator).
  • 16/08/2018
    Un nouveau lieu de pèlerinage sur les traces de Mère Marie-Adèle Garnier
    Le 15 août 2018, les Soeurs de Tyburn fêteront l’ouverture à Grancey-le-Château dans le diocèse de Dijon, de la maison natale de Mère Marie-Adèle Garnier, fondatrice de la Congrégation des Bénédictines du Sacré-Coeur de Montmartre, comme lieu de pèlerinage. En 1872, Adèle Garnier, institutrice, lit un article parlant de la construction de la Basilique du Sacré-Coeur de Montmartre à Paris. Elle fonde alors une communauté religieuse dans ce lieu pour vivre une vie centrée sur l’adoration perpétuelle. La première communauté doit ensuite s’exiler en Angleterre suite aux lois de 1901 sur les Congrégations religieuses, puis elle reviendra s’installer en Belgique et en France. A l’occasion du 180e anniversaire de Mère Marie-Adèle, le retour dans la maison de leur fondatrice est un moment émouvant pour la Congrégation.
  • 15/07/2018
    Evangéliser sobrement : Angélus du 15 juillet 2018
    En cette 15ème semaine du temps ordinaire, le Saint-Père a commenté l’Évangile selon Saint-Marc (6, 7-13) quand Jésus appela les Douze pour les envoyer en mission, deux par deux, «une sorte de stage», affirme le Pape, «pour apprendre ce qu’ils seront appelés à faire après la résurrection, avec la puissance de l’Esprit Saint». Jésus ne manque pas de donner des consignes au Douze alors qu’ils sont au tout début de leur activité missionnaire. Le Pape s’arrête ainsi sur «le style missionnaire» dans sa catéchèse. La mission a un centre, Jésus Le disciple missionnaire a, avant tout, un centre de référence, qui est la personne de Jésus. Le récit l’indique en utilisant une série de verbes qui ont Jésus pour sujet. Ainsi la motivation et les actions des Douze «semblent irradier d’un centre», explique le Pape, dans leurs actions missionnaires est reproposée la présence et l’oeuvre de Jésus. «Cela montre que les apôtres n’ont rien de propre à annoncer, ni des capacités propres à démontrer, mais ils parlent et agissent en tant qu’envoyés, messagers de Jésus».Cet épisode évangélique concerne tous les baptisés là où ils vivent, et non pas uniquement les prêtres, poursuit François. Et pour eux aussi «cette mission est authentique seulement lorsqu’elle part de son centre immuable qu’est Jésus». François rappelle qu’il ne s’agit pas de «l’initiative de fidèles individuels, ni de groupes, ni même de grands rassemblements, mais c’est la mission de l’Église unie de manière inséparable à son Seigneur. Aucun chrétien n’annonce l’Évangile de manière propre, mais uniquement lorsqu’il y est invité par l’Église qui a en reçu le mandat du christ en personne». Évangéliser sans appuis, ni faveurs La seconde caractéristique du style missionnaire est «un `visage’ qui consiste en la pauvreté des moyens». Son équipement répond à un critère de sobriété. Les Douze reçoivent l’ordre de ne rien prendre d’autre que leur bâton pour la route, pas de pain, pas de sac, pas de pièces de monnaie dans leur ceinture, souligne l’Évangile. «Le Maître les veut libres et légers, sans appuis ni faveurs, sûrs uniquement de l’amour de celui qui les envoie, forts uniquement de Sa Parole qu’ils viennent annoncer». Le bâton et les sandales sont les attributs des pèlerins, parce qu’ainsi sont les messagers du Seigneur. «Ce ne sont pas des managers tout puissants, des fonctionnaires inamovibles, ou des divas en tournée». De ce visage, découle également de la façon dont le message va être reçu. Le Pape avertit les missionnaires : il peut arriver de n’être ni accueillis ni écoutés. «Cela aussi est pauvreté : l’expérience de l’échec». L’histoire de Jésus, qui fut rejeté et crucifié, préfigure le destin de son messager, explique le Pape qui rappelle cependant que «c’est seulement si nous restons unis à Lui, mort et ressuscité, que nous réussissons à avoir le courage de l’évangélisation». Le Pape a enfin prié la Vierge Marie, première disciple et missionnaire de la Parole de Dieu, pour qu’elle aide l’ensemble des fidèles à répandre dans le monde le message de l’Évangile, avec «une allégresse humble et radieuse, au-delà de tout rejet, de toute incompréhension ou tourment ». Saluts Après la prière de l’Évangile, le Pape a salué les pèlerins de son diocèse, d’Italie et des différentes parties du monde : les familles, les groupes paroissiaux, les associations. Il a en particulier salué les soeurs du Très Précieux Sang de Monza, les novices des Filles de Marie auxiliaire, et les jeunes polonais du diocèse de Pelpin qui participent à un cours d’exercices spirituels à Assise.
  • 07/07/2018
    Soeur Mariam Amira, Soeur de Marie missionnaire du Saint-Sacrement
    Soeur Mariam Amira est revenue du Canada vers l’Irak en 2009 pour fonder la communauté des soeurs de Marie missionnaire du Saint-Sacrement. Aujourd’hui, deux autres religieuses l’ont rejointe dans sa mission à Qaraqosh. En juin 2018, ces soeurs ont prononcé leurs voeux.
  • 07/07/2018
    Soeur Rahma, catéchiste à l’école primaire des Dominicaines à Qaraqosh
    En 2014, Qaraqosh, ville chrétienne d’Irak, est envahie par Daesh. Elle a été libérée en octobre 2016. L’école primaire des religieuses dominicaines a pu ouvrir à nouveau ses portes. Soeur Rahma y donne des cours de catéchisme.
  • 22/06/2018
    Frère Franklin Armand : Révolutionnaire paisible au service de Dieu
    Non, la misère n’est pas une fatalité. Non, la misère n’a pas été voulue par Dieu pour ses enfants haïtiens. Fort de sa Foi en Christ et de son engagement dans l’Église à l’âge de 17 ans, le Frère Franklin a fondé une congrégation de Petits Frères de l’Incarnation et cofondé celle des Petites Soeurs de l’Incarnation. Il refuse l’assistanat mais veut aider les agriculteurs de son pays à se réapproprier leur outil de travail et les jeunes à avoir un esprit d’entrepreneur. Lui-même a fait creuser plus d’une centaine de lacs collinaires qui permettent d’irriguer durant la saison sèche après six mois de pluies. Un acteur majeur de la vie d’Haïti dont le dynamisme repose uniquement sur sa confiance en Dieu.
  • 14/06/2018
    Soeur Caroline et Cyrille : Deux vies pour Dieu et pour le monde
    1200 fidèles du diocèse de Bayeux et Lisieux se sont rassemblés à Douvres-la-Délivrande pour la journée des vocations. Cette année est exceptionnelle pour le diocèse. Douze jeunes hommes et femmes se sont engagés dans l’Eglise comme religieux(ses) ou comme prêtres diocésains. Parmi eux, soeur Caroline, Oblate de Sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus, et Cyrille de Frileuze, diacre en vue du sacerdoce. Rencontre.
  • 13/06/2018
    Audience générale du 13 juin 2018
    Frères et soeurs, nous commençons aujourd’hui un nouvel itinéraire de catéchèse sur le thème des commandements. Pour l’introduire, nous pouvons nous arrêter au passage de l’évangile que nous avons entendu tout à l’heure. Dans la demande de l’homme il y a le défi de toute existence : le désir d’une vie pleine, infinie. Comment faire pour y arriver ? Je voudrais dire en particulier aux jeunes que notre pire ennemi ce ne sont pas les problèmes concrets, mais la médiocrité, la peur d’agir. Pour eux, il faut demander au Père céleste le don de la saine inquiétude, la capacité de ne pas se contenter d’une vie sans beauté, sans couleur. Si les jeunes ne sont pas affamés d’une vie authentique, où ira l’humanité ? On passe à la maturité, on devient adulte, quand on commence à accepter ses propres limites, quand on prend conscience de ce qui manque. L’invitation de Jésus à l’homme de l’évangile est merveilleuse, c’est la proposition de la véritable richesse : « Une seule chose te manque : va, vends ce que tu as et donne-le aux pauvres ; alors tu auras un trésor au ciel. Puis viens, suis-moi ». Jésus n’offre pas des succédanés, mais une vie véritable, un amour vrai, une vraie richesse. Il nous invite à "un plus". Au cours de ces catéchèses nous prendrons la main de Jésus pour marcher avec lui et passer des illusions de la jeunesse au trésor qui est dans le ciel.
  • 31/05/2018
    Tarte au thon et pavé craquant au chocolat
    La vie monastique n’est pas si répétitive et prévisible, annonce malicieusement soeur Myriam : selon les approvisionnements, il faut souvent changer les recettes prévues, c’est pourquoi celles-ci doivent être aussi simples que savoureuses - et pourquoi aussi ce rendez-vous avec la « Cuisine des monastères » vous est si utile ! Les mains dans la pâte brisée, soeur Myriam raconte comment chaque cuisinière apporte toute sa pâte humaine, sa région, son histoire. La bénédictine achève la préparation de sa tarte au thon, puis dévoile les secrets de son craquant au chocolat sans cuisson - idéal pour occuper les enfants les après-midi pluvieux !
  • 27/05/2018
    Trinité, mystère d’un Dieu Amour (Angélus du 27 mai 2018)
    En cette Solennité de la Sainte Trinité, que l’Eglise célèbre le dimanche suivant la Pentecôte, nous sommes invités à contempler le «mystère d’un Dieu qui ne cesse de nous créer, de nous racheter et de nous sanctifier» Le chrétien fait partie d’un peuple. Saint Paul à son tour nous parle du désir de Dieu d’être appelé Père, et même «Papa», «avec la confiance totale d’un enfant qui s’abandonne dans les bras de celui qui lui a donné la vie». L’action de l’Esprit-Saint en nous, rappelle en outre l’apôtre, fait que «Jésus ne se réduit pas à un personnage du passé, mais que nous le sentons proche, (...) et nous expérimentons la joie d’être des enfants aimés de Dieu». Et c’est justement «grâce à sa présence et à la force de son Esprit, que nous pouvons réaliser avec sérénité la mission qu’Il nous confie: annoncer et témoigner à tous de l’Evangile (...La fête de la Sainte Trinité, Dieu Un et Trine, nous fait contempler «le mystère d’un Dieu qui ne cesse de nous créer, de nous racheter, de nous sanctifier (...) et qui donne, à chaque créature qui l’accueille, de refléter un rayon de sa beauté, de sa bonté et de vérité».)» Ce Dieu-Amour a choisi de marcher avec l’humanité et de former un peuple qui soit bénédiction pour toutes les nations, et pour chaque personne. «Le chrétien n’est pas une personne isolée, il appartient à un peuple. On ne peut être chrétien sans une telle appartenance et communion. Nous sommes un peuple ; le peuple de Dieu», a martelé le Pape avant d’invoquer l’aide maternelle de la Vierge Marie, afin que les croyants puissent témoigner de l’Amour du Père , du Fils et de l’Esprit.. Prière pour l’Afrique Au terme de l’Angélus, le Pape a évoqué la béatification, advenue samedi, à Piacenza (Italie) de Soeur Leonella Sgorbati, assassinée par des islamistes en Somalie le 17 septembre 2006. «Sa vie dépensée au service de l’Evangile et des pauvres, comme son martyre, représentent un gage d’espoir pour l’Afrique et le monde entier». «Prions ensemble pour l’Afrique, pour qu’il y ait la paix», a ensuite lancé le Saint-Père, enjoignant la foule rassemblée à réciter un «Ave Maria» pour le continent, avant d’invoquer la Vierge Marie sous le vocable de «Notre-Dame de l’Afrique».
  • 21/05/2018
    Marie Mère de l’Eglise : « C’est une invitation à être docile à l’Esprit Saint ! »
    « Marie est le modèle de celle qui s’est laissée conduire par l’Esprit Saint et c’est elle qui à son tour nous apprend à vivre sous le souffle de l’Esprit ; cette fête est une invitation à être docile à l’Esprit et à être des instruments de communion et de réconciliation ». Soeur Dominique Waymel, Soeur apostolique de Saint-Jean et théologienne, nous explique le sens et la portée spirituelle de la nouvelle fête liturgique de la « Bienheureuse Vierge Marie Mère de l’Eglise ». A l’occasion de cette fête instaurée le lundi après la Pentecôte par le Pape François, KTO vous propose le 21 mai 2018 une série d’interview diffusées tout au long de la journée pour en éclairer le sens.
  • 21/05/2018
    Marie Mère de l’Eglise : "Marie, par sa maternité, embrasse le monde entier !"
    « Le monde a soif de Dieu, mais il est nécessaire de trouver le moyen de rejoindre les gens. Marie, par sa maternité spirituelle, embrasse le monde entier ! » Soeur Caroline, Franciscaine Missionnaire de Marie, nous explique le sens et la portée missionnaire de la nouvelle fête liturgique de la « Bienheureuse Vierge Marie Mère de l’Eglise ». A l’occasion de cette fête instaurée le lundi après la Pentecôte par le Pape François, KTO vous propose le 21 mai 2018 une série d’interview diffusées tout au long de la journée pour en éclairer le sens.
  • 10/05/2018
    Visite du Pape à Nomadelfia (Italie) : rencontre de la Communauté fondée par Don Zeno Saltini
    A Nomadelfia, le Pape vante la "loi de la fraternité" «Je suis venu ici pour exprimer mon encouragement à votre communauté fondée par Don Zeno Saltini» a dit le Pape en saluant les nombreuses personnes qui l’ont accueilli ce jeudi matin dans la petite ville immergé dans la campagne toscane. «Nomadelfia est une réalité prophétique qui se propose de réaliser une nouvelle cité en rendant effectif l’Evangile comme forme de vie bonne et belle» a expliqué le Saint-Père. «La loi de la fraternité, qui caractérise votre vie, fut le rêve et l’objectif de toute l’existence de Don Zeno, a poursuivi le Pape, qui désirait une communauté de vie inspirée du modèle défini par les Actes des Apôtres.» Le langage de l’amour François a rappelé que devant les souffrances de nombreux enfants orphelins ou marqués par les difficultés, Don Zeno Saltini avait compris que l’unique langage que comprenaient ces enfants était celui de l’amour. A Nomadeflia, la vie communautaire entre les familles tisse des liens spéciaux, de sliens qui répondent à une vocation spéciale du Seigneur. Cette communauté a ainsi pu instaurer une consaguinité avec Jésus a expliqué le Pape. François a souligné un aspect marquant de cette communauté de Nomadelfia: sa grande humanité. «Il s’agit d’une attention portée avec amour vers les personnes âgées, y compris quand elles ne sont pas en bonne santé, elles restent en famille et sont soutenues par les frères et soeurs de toute la communauté». Le Pape les a encouragés à poursuivre sur ce chemin. Un témoignage joyeux de l’Evangile Face à un monde parfois hostile aux idéaux prêchés par le Christ, le Souverain Pontife a enfin invité les membres de la commuanuté à ne pas hésiter à répondre avec un témoignage joyeux et serein de vie, inspiré de l’Evangile. Avant de rencontrer la communauté, le Saint-Père s’était rendu sur la tombe de Don Saltini pour y prier et y déposer une pierre à son nom. Avant lui, le Pape Jean-Paul II s’était également rendu sur les lieux le 21 mai 1989.
  • 04/05/2018
    Le discernement vocationnel, sans langue de buis
    Comment l’Eglise accompagne-t-elle aujourd’hui les jeunes générations de catholiques à discerner leur vocation, et à répondre l’appel à devenir prêtre ou religieuse ? Le terme « vocation » n’est pas clair, ont souligné les jeunes participants au pré-synode à Rome au printemps dernier. Beaucoup ne savent pas comment mettre en place un processus de discernement. C’est ce qu’ils ont écrit dans le document final qui nourrit la préparation du Synode des Evêques en octobre prochain sur les jeunes, la foi et le discernement vocationnel. Quelles sont leurs aspirations, leurs rêves mais aussi les obstacles, les réticences, les peurs ? Les propositions de l’Eglise sont-elles adaptées à leurs besoins et leurs questions ? Comment permettre une compréhension simple et claire de la vocation, qui souligne le sens de l’appel et la mission ? Et si tous les chrétiens sont appelés à la sainteté, comment discerner un appel particulier du Seigneur ? Dans un contexte de baisse des vocations sacerdotales et religieuses en Europe, dialogue sans langue de buis entre Eugénie Paris, responsable de la pastorale étudiante du diocèse de Rouen, Mère Isabelle, Petite Soeur des Pauvres, père Benoit de Menou, responsable de la pastorale des vocations du diocèse de Grenoble-Vienne, Corentin Pezet, étudiant en droit et séminariste pour le diocèse de Cahors, Louis Verdier, routier scout d’Europe et Mgr David Macaire, archevêque de Saint-Pierre et Fort-de-France en Martinique.
  • 26/04/2018
    Timbale milanaise et soupe de cerises
    « Le moral est dans l’assiette ». Soeur Ozanne est notre cuisinière du jour, à l’abbaye Notre-Dame de Jouarre, et se souvient de cet adage du noviciat : pas question de négliger les goûts et les couleurs, au moment de préparer les plats de la communauté. Si la timbale vient de Milan, la soupe de cerises est héritée de Mère Aguilberte, une bourguignonne qui fut abbesse du monastère pendant 25 ans. Les fruits mijotent dans le sirop de sucre, le vin ou le kirsch, et embaumeront bientôt votre table, parsemée de croûtons de pain juste sortis du four.