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622 résultats pour votre recherche sur « mise aux voix »

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  • 19/10/2018
    "La chanteuse lyrrique au service des habitants des quartiers populaires" : Malika Bellaribi-Le Moal
    D’origine algérienne, Malika Bellaribi-Le Moal est née à Nanterre, en banlieue parisienne. Issue d’une famille musulmane, elle est catholique, tout comme sa fille unique. Son histoire débute par un accident : un camion la renverse alors qu’elle n’a que trois ans. Les opérations se succèdent et, durant sa convalescence, elle rencontre des Soeurs de Saint Vincent de Paul. Après avoir envisagé d’être comptable, Malika Bellaribi-Le Moal choisit de devenir artiste lyrique : "Le chant est devenu un prétexte pour rendre ce qu’on m’a donné". Son association, « Voix en Développement », forme au chant lyrique des habitants des quartiers les plus populaires de France. En ce mois d’octobre débute leur version très actualisée de la Grande duchesse de Gerolstein d’Offenbach. Ce soir, sur le plateau d’Un Coeur qui écoute, Malika Bellaribi-le Moal nous partage ce destin hors norme et nous offre même un extrait a capella d’une composition de Vivadi.
  • 18/10/2018
    Quelles limites au pouvoir du règlement intérieur ?
    En France, la mise en place d’un règlement intérieur au sein d’une entreprise est obligatoire à partir de 20 salariés. Mais que doit contenir ce règlement ? Quelles sont ses obligations et ses limites ? Qui le vote ? Les explications de Joseph Thouvenel, vice-pdt de la CFTC, et de Jean-Eudes Tesson, chef d’entreprise et membre des EDC.
  • 17/10/2018
    Synode 2018 : l’accompagnement des jeunes par la communauté ecclésiale
    A Rome, la troisième partie des travaux du Synode sur les jeunes a débuté hier. Elle se concentre sur les propositions concrètes, pastorales et missionnaires. Pour Mgr Lacombe, ce qui ressort déjà de ces débats, c’est l’importance de la communauté ecclésiale dans l’accompagnement des jeunes. L’évêque auxiliaire de Bordeaux souligne, comme propositions concrètes, la mise en valeur des jeunes déjà expérimentés et la mise en place de parrainages sacramentaires.
  • 11/10/2018
    L’archevêque de Bangui au #Synod2018 : ensemble à l’écoute de Dieu.
    Mgr Dieudonné Nzapalainga, 51 ans, est le plus jeune des cardinaux. Il est aussi le modérateur d’un des groupes francophones du Synode. Pour KTO il évoque cette première phase des travaux et revient sur les thèmes essentiels: le témoignage des croyants, la transmission de la foi, les migrants, la colonisation idéologique et la vie affective. Avec un grand enthousiasme, il témoigne aussi de sa joie de vivre cette expérience de l’Eglise universelle et d’y porter, avec le Pape et avec d’autres, la voix des sans voix.
  • 11/10/2018
    Synode 2018 : Les « délégués fraternels » interviennent au synode
    Aujourd’hui, lors des congrégations générales, les pères synodaux ont continué de réfléchir sur la 2e partie du document de travail autour de la foi et du discernement vocationnel. Ils ont notamment pu entendre les interventions des « délégués fraternels ». Ces invités au Synode ont la particularité d’être membres d’autres églises chrétiennes. Orthodoxes ou protestants, ils sont la voix de l’oecuménisme pendant ce synode et nous partagent leur points de vue et leurs idées.
  • 10/10/2018
    Synode 2018 : Les enjeux pour les jeunes du Moyen Orient
    Mgr Georges Bacouni, Archevêque melkite de Saint Jean d’Acre, au nord d’Israël, est une des voix du Moyen-Orient à ce Synode. Il revient sur les difficultés propres aux jeunes du Moyen Orient et souligne particulièrement la nécessité de conditions favorables à un bon discernement : la paix sociale et la disponibilité des pasteurs de l’Eglise.
  • 06/10/2018
    Le Journal du Synode : une mise en route intense
    Chaque samedi, la rédaction de KTO vous propose dans le Journal du Synode de découvrir les évènements marquants de la semaine et le travail des participants à la XVème assemblée ordinaire du Synode des évêques sur "les jeunes, la foi et le discernement vocationnel". Depuis la messe d’ouverture, mercredi 4 octobre 2018, une centaine de Pères synodaux sont intervenus dans la salle du Synode au Vatican. Et le travail d’amendements de l’Instrumentum Laboris a été entamé en groupes linguistiques. Retour sur un début de synode marqué par une profusion d’expériences et de préoccupations, pour que l’Eglise rejoigne les jeunes et se mette authentiquement à leur écoute.
  • 06/10/2018
    La Conversion de Marie-Madeleine de Caravage
    Tout dans ce tableau du Caravage, peintre italien de la fin du 16e siècle, pourrait passer pour une scène de vanité. Une coquette, somptueusement mise, vient de se contempler dans un miroir et se retourne pour écouter le bavardage d’une autre femme. Cependant, quel est ce regard bien grave qu’elle jette sur le personnage qui reste dans l’ombre ? Madeleine est en train de se convertir, et Caravage peint cet instant fugace où l’esprit est touché par Dieu... Une coproduction KTO-Le Monde de la Bible
  • 29/09/2018
    Dominique Frot
    Quelle voix! Quel visage! Quelle gouaille! Plutôt excentrique au premier abord, la comédienne Dominique Frot est ce soir sur le plateau de Lumière intérieure et nous permet d’entrevoir les ressorts de sa vie personnelle, ses enthousiasmes et ses colères. Si la comédienne est connue de beaucoup comme le célèbre proviseur de la série télévisée Soda avec Kev Adams, on l’a aussi vue dans une quarantaine de films mais aussi dans de nombreuses séries et téléfilms. Mais le théâtre demeure sa principale maison : après une double formation, celle du Conservatoire national supérieur d’art dramatique de Paris et celle de l’École normale supérieure de musique de Paris, Dominique Frot a travaillé au théâtre avec Gilles Dao, Luc Bondy, Peter Brook, Francois Verret ou encore François Orsoni. Récemment, elle s’est investie dans d’autres domaines artistiques comme ma mise en scène ou l’interprétation d’oeuvres littéraires contemporaines. Répondant aux questions d’Ariane Warlin, l’actrice -soeur de Catherine Frot- vient partager sans filtre sa vision du monde, à la fois caustique et pleine d’amour.
  • 21/09/2018
    "Sa chance commence par un D comme Dieu" : Isabelle Gérez
    Fan de sport, Isabelle Gerez a excellé dans son métier de cordeur de raquettes de tennis, ce qui lui a permis de côtoyer les grands joueurs de la planète lors des tournois de Paris-Bercy et de Roland-Garros. A cette époque, à Laval, la jeune femme vit à 100 à l’heure jusqu’à un grave accident de moto. Un choc qui révèle une sclérose en plaques, une maladie auto-immune qui aurait dû l’emporter il y a 21 ans ! Aujourd’hui, Isabelle Gerez est en fauteuil roulant sur le plateau d’Un Coeur qui écoute. Avec son regard pétillant et sa douce voix, l’ex-cordeuse raconte ce revers gagnant : cet accident et cette maladie qui lui ont permis de découvrir le Christ et Son amour qui la fait vivre jour après jour. Un témoignage qu’elle a donné lors de conférences mais aussi dans un livre percutant intitulé « Ma chance commence par un grand D », aux éditions Nepsis-Pare.
  • 15/09/2018
    Daniel Mesguich
    Homme de théâtre remarquable, Daniel Mesguich est à la fois comédien et metteur en scène. On se souvient entre autres du personnage de Napoléon qu’il campa avec brio dans Joséphine ou la comédie des ambitions. Aujourd’hui, il brille dans des rôles de récitants comme dans sa lecture inspirée de la pièce Cyrano de Bergerac d’Edmond Rostand, auteur dont on fête le 150e anniversaire. Directeur du Conservatoire d’art dramatique, Daniel Mesguich a formé les meilleurs acteurs. Il a désormais sa propre école, le cours Mesguich. Ce soir, loin de la scène mais sous les projecteurs de KTO, il se laisse connaître en douceur. Avec une vraie élégance, un brin désespérée. Répondant de sa voix chaude aux questions d’Ariane Warlin, il se confie ainsi sur son parcours artistique, son rapport à la mort ou encore son intérêt pour la Bible. « La solitude pour moi est fondamentale car les véritables avancées se font de soi à soi, elles se font dans la solitude », confie-t-il. Rendez-vous sur le plateau de Lumière Intérieure, une nouvelle émission proposée par KTO et présentée par Ariane Warlin.
  • 14/09/2018
    Delphine Batho - Face aux Chrétiens
    Départ de Hulot : « Les formations traditionnelles ont échoué sur l’écologie » Revenant sur le départ de Nicolas Hulot du gouvernement, Delphine Batho estime qu’il a fait «le même constat que celui que j’avais dressé en 2013» en quittant le gouvernement Ayrault. La députée dénonce « le blocage des élites, de la technostructure, le poids des lobbys qui provoquent un décalage considérable entre l’accélération inouïe du dérèglement climatique (...) et la vie politique française. » La nouvelle présidente de Génération écologie estime que les « formations traditionnelles ont échoué sur l’écologie, elles ne sont pas capables de faire leur mutation ». Transition industrielle : « La France devrait être à la tête de la bataille du véhicule zéro émission ». « Quand vous fermez une centrale à charbon, une centrale nucléaire, vous organisez une destruction de valeurs volontaire. Si on ne veut pas que ce soit une impasse industrielle et écologique, il faut en même temps une stratégie (...) mais la réalité est qu’il n’y a pas de politique industrielle en France. » Prenant l’exemple de l’automobile, Delphine Batho estime que la France devrait être à la tête de la bataille du véhicule zéro émission. Je ne vois pas pourquoi on laisse cela à la Californie. Le génie français, c’est là qu’il doit être. » Pape François : L’encyclique Laudato si est « un texte très important » Interrogé sur l’encyclique du pape sur l’écologie, Delphine Batho estime que c’est un « texte très important ». « Je suis athée et c’est la première fois de ma vie que je lis une encyclique » explique la députée qui précise : « je le trouve important sur le lien qui est fait entre la destruction de la nature et l’explosion des inégalités » dit-elle en rappelant qu’il a été « très utile à la Cop 21 ».
  • 08/07/2018
    "La grâce de Dieu surprend ..."Angélus du 8 juillet 2018
    S’appuyant sur l’Évangile du jour (Marc 6, 1-6), le Pape a rappelé comment les habitants de Nazareth passèrent de l’émerveillement à l’incrédulité à l’écoute des enseignements du Christ. Un changement d’attitude qui s’est opéré dès lors qu’ils apprirent que celui qui prêchait n’était que ce «simple charpentier, fils de Marie» qu’ils avaient vu grandir. Pour ces Galiléens, Jésus est d’abord charpentier, «il n’a pas étudié», mais pourtant «il prêche mieux que les scribes et fait des miracles», souligne François, didactique. Hélas, poursuit le Pape, «au lieu de s’ouvrir à la réalité, les habitants de Nazareth sont scandalisés, car selon eux, Dieu est trop grand pour s’abaisser à parler par la voix d’un homme aussi simple». Jésus devient alors pour eux «le scandale de l’Incarnation», «l’événement choquant d’un Dieu fait chair, qui pense, travaille, agit, aime, mange et dort comme un homme»... «Le Fils de Dieu bouscule tous les schémas humains: ce ne sont pas les disciples qui lavèrent les pieds du Seigneur, mais le Seigneur qui lavait les leurs», devenant ainsi cause de scandale et d’incrédulité, affirme le Saint-Père, «à toutes les époques, même aujourd’hui». Ce renversement fait par Jésus nous engage donc tous aujourd’hui «à une vérification personnelle et communautaire», car il peut arriver à tous de nourrir des préjugés qui nous empêchent de saisir la réalité. Et c’est justement le Seigneur qui invite à adopter au contraire une attitude d’écoute humble et d’attente docile, «car la grâce de Dieu se présente souvent de manière surprenante, qui ne correspond pas à nos attentes». «Dieu ne se conforme pas aux préjugés», a insisté le Souverain pontife depuis la fenêtre du Palais apostolique. L’importance de la foi prend ici tout son sens. Pour le Saint-Père, «beaucoup de baptisés vivent comme si le Christ n’existait pas, répétant les gestes et les signes de la foi, sans parvenir à une réelle adhésion à la personne de Jésus et de son Évangile», a-t-il déploré, souhaitant de tout son coeur que Dieu parvienne «à dissoudre en chacun la dureté de coeur et l’étroitesse des esprits».
  • 03/07/2018
    Avortement en Belgique | Abus sexuels dans l’Eglise | Prière pour le Proche-Orient
    Ce mardi, Constance du Bus, collaboratrice à l’Institut Européen de Bioéthique à Bruxelles est sur notre plateau pour expliquer les enjeux du vote sur l’avortement qui a lieu ce mercredi à la Commission justice de la Chambre de Bruxelles. Les députés votent pour la sortie de L’IVH du Code Pénal. De nombreuses voix, l’Eglise de Belgique en tête, se font entendre pour s’opposer à un tel retrait. Dans cette édition, nous revenons également sur la journée de prière et de réflexion pour le Proche-Orient. Elle a lieu samedi prochain dans la ville de Bari en Italie. Dimanche, le Pape François a invité les fidèles du monde entier à s’unir par la prière à ce pèlerinage pour la Paix. Vous entendrez également dans le journal le témoignage d’une ancienne religieuse, victime d’abus sexuels dans l’Eglise. Soutenue par la présidente de la conférence des religieux et religieuses de France, elle a décidé aujourd’hui de témoigner à visage découvert pour aider les autres victimes à surmonter cette épreuve. Le cardinal malgache Tsahara Hazanna, nouvellement crée lors du consistoire jeudi dernier s’exprime dans cette édition. Il appelle son pays à un sursaut. Nous revenons également sur l’envoi de 40 jeunes volontaires des MEP en mission mais aussi sur les ordinations à Paris le week-end dernier
  • 01/07/2018
    Jésus est source de vie pour qui lui fait confiance : Angélus du 1er juillet 2018
    «Sur la route du Seigneur, tout le monde est admis» : le Pape François, lors de l’angélus ce dimanche, a souligné que pour avoir accès au coeur de Jésus il faut sentir le besoin d’être guéri et s’en remettre à lui.Le Pape François, avant de réciter la prière de l’angélus, a commenté l’Évangile de ce dimanche 1er juillet, 13e dimanche du temps ordinaire. Il est revenu sur Jaïre et sur la femme qui avait des pertes de sang qui, tous deux, demandent, chacun à leur manière, de guérir, l’un sa fille, l’autre ses problèmes de santé. Pour le Saint-Père, les deux récits abordés dans l’Évangile de ce dimanche, n’ont qu’un seul thème : «la foi». Ils montrent aussi que Jésus est «source de vie», qu’il redonne la vie «à qui se fie pleinement de Lui». Jaïre et la femme ne sont pas des disciples de Jésus, pourtant, «ils sont exaucés par leur foi». C’est pourquoi, souligne François, «nous sommes tous admis sur la route du Seigneur». S’en remettre à Jésus «Personne ne doit se sentir un intrus, un abuseur, ou quelqu’un qui n’a pas le droit», précise le Pape. «Pour avoir accès à son coeur, il n’y a qu’une exigence : ressentir le besoin de guérison et s’en remettre à Lui». François précise bien que c’est Jésus qui va chercher la femme dans la foule, ayant senti que quelqu’un l’avait touché dans un but bien précis. «Jésus les tire de l’anonymat, les libère de la peur de vivre et d’oser». «Il le fait par un regard et avec une parole qui les remet en chemin après tant de souffrances et d’humiliations», poursuit le Pape qui appelle les fidèles à «apprendre et à imiter ces paroles qui libèrent et ces regards qui restituent, à qui en est privé, l’envie de vivre».Craindre le coeur endurci Ce récit évangélique montre l’imbrication également des thèmes de la foi et de la vie nouvelle que Jésus vient nous offrir. «Devant Lui, la mort physique est comme un sommeil : il n’y a pas de raison de désespérer». Mais «il y a une autre mort», précise aussitôt le Pape, «qui est à craindre : celle du coeur endurci par le mal». Malgré tout, «même le péché, pour Jésus, n’a jamais le dernier mot parce qu’Il nous a apporté la miséricorde infinie du Père. Et même si nous sommes tombés, sa voix tendre et forte nous parvient : "Je te le dis : lève toi"».