Ce dimanche 4 juin, solennité de la Sainte Trinité et fête des mères en France

Ce dimanche 4 juin, l’Église fête la solennité de la Sainte Trinité. Une semaine après la Pentecôte, l’Église met en avant le mystère du Dieu Trinité : un en trois personnes. En France, ce dimanche est aussi celui de la fête des mères. KTO vous accompagne avec une programmation spéciale.

« Au nom du Père, et du Fils et du Saint-Esprit ». Le signe de croix place les chrétiens face au mystère du Dieu trois fois saint. De même, les chrétiens sont baptisés « au nom du Père, et du Fils et du Saint-Esprit ». Affirmation d’un seule Dieu en trois personnes, la Trinité est dérivé de « trois » et d’« unité ». Le mystère de la Sainte Trinité est le « mystère central de la vie chrétienne », nous rappelle le Catéchisme de l’Église catholique (CEC 234).

Retrouvez la programmation spéciale de KTO pour prier et en découvrir davantage sur la Sainte Trinité.

10h : Messe en direct de Lourdes
12h : Angélus avec le pape François en direct de Rome
15h30 : Chapelet en direct de Lourdes
18h30 : Messe en direct de l'église Saint-Germain-l'Auxerrois à Paris
21h30 : Veillée de louange en direct de Vincennes

Les chrétiens sont baptisés "au nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit". Le signe de la croix les plongent dans le mystère trinitaire... qui semble un paradoxe. Car Dieu est Trinité... Il est unique, mais en Trois Personnes... C’est vrai que cela dépasse vraiment notre entendement... Le christianisme est d’abord bien un monothéisme : il n’y a pas trois dieux - comme certains le dénoncent - mais un seul Dieu en trois Personnes. Le monothéisme chrétien est surtout un monothéisme trinitaire. Car la Trinité est Une, d’où le mot « Trinité », du grec trias, puis du latin trinitas, dérivé de « trois » et de « unité ». Écoutez Honorine Grasset et vous comprendrez mieux...

La Foi Prise au Mot vous propose d’aborder la figure de Marie, mais d’une manière un peu différente, en nous demandant si celle-ci peut ou doit véritablement faire office de modèle pour toutes les femmes. Une certaine image de Marie, perçue à bien des égards aujourd’hui comme péjorative est souvent véhiculée : une femme souvent idéalisée par les hommes, se soumettant à l’ange ainsi qu’à son mari, qui reste discrète, voir silencieuse et médite pieusement sur tout ce qu’elle a vu. Cette image pourrait d’ailleurs se résumer en deux mots : soumission et silence. Mais est-ce vraiment ainsi qu’est décrit le personnage de Marie dans le Nouveau Testament ? « Marie ne restait pas là, assise, les bras croisés, à regarder Jésus ! Son silence signifie qu’elle reçoit le Mystère, qu’elle en possède l’intelligence. » affirme Soeur Marie-Madeleine Caseau, prieure des Bénédictines au Monastère Sainte-Bathilde de Vanves. « C’est une figure qui nous dit quelque chose sur ce que c’est de croire en dépit des épreuves et de la souffrance, sur ce qu’est le véritable cheminement humain de la foi » ajoute Agnès von Kirchbach, pasteure de l’Église protestante unie de France.

Que seraient-ils devenus, s’ils n’avaient pas eu les mères qu’ils ont eues ? Ce film revient sur plusieurs portraits de mères de saints : Marie Beluze, mère de Jean-Marie Vianney, Sainte Monique, mère de Saint Augustin, Céline de Laon mère de Saint Rémi qui a fait entrer les Francs dans la chrétienté, Maman Marguerite, mère de don Bosco, dévouée jusqu’à sa mort, à l’oeuvre de son fils. A l’image de la Vierge Marie, elles ont été des inspiratrices, des piliers et parfois la première personne de confiance de ces figures de sainteté. Le documentaire offre des séquences tournées dans les "lieux mémoires" de ces mères remarquables, illustrant leur témoignage. Les divers intervenants permettent de lever en partie le voile sur l’univers intime de la relation de ces mères avec leurs enfants. Un film qui donne raison, une fois de plus, au curé d’Ars qui affirmait que les enfants qui n’ont pas une mère chrétienne sont bien à plaindre car « la vertu passe facilement du coeur des mères dans le coeur des enfants ». Une coproduction KTO/CAT PRODUCTIONS 2023 - Réalisée par Armand IsnardUn film qui donne raison, une fois de plus, au curé d’Ars qui affirmait que les enfants qui n’ont pas une mère chrétienne sont bien à plaindre car la vertu passe du coeur des mères dans le coeur des enfants.

Une coproduction KTO/CAT PRODUCTIONS 2023 - Réalisée par Armand Isnard

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Pourquoi, Padre ?