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Ce film s’intéresse à la vie du bienheureux Jean Duns Scot (1266 - 1308), frère écossais de l’ordre franciscain. Surnommé le « Docteur subtil », Duns Scot est un des fondateurs de l’école scolastique « scotiste » qui énonce une plus grande proximité entre la créature et le Créateur à travers le concept « d’univocité de l’être ». La clarté de son enseignement s’alliait avec des convictions solides. En effet, alors qu’il était professeur de philosophie et de théologie à l’Université de Paris, il fut contraint à l’exil pour être resté fidèle au Pape Boniface VIII face au roi de France Philippe le Bel. Le film montre surtout comment, par son courage et son intelligence, il sut défendre l’Immaculée Conception de la Vierge Marie lors d’un célèbre débat contre les Dominicains, posant ainsi les fondements d’un dogme que l’Église catholique reconnut officiellement le 8 décembre 1854. Bienheureux Duns Scot - Une production TVCO 2010 traduite et distribuée par SAJE - Réalisée par Fernando Mucara

Samedi 13 décembre, en la cathédrale Notre-Dame de Paris seront béatifiés 50 martyrs du service du travail obligatoire (STO), morts en Allemagne entre 1944 et 1945. Ces nouveaux bienheureux, originaires de 37 diocèses français différents, comptent parmi eux 14 Scouts de France. Envoyés au service du travail obligatoire, ils furent assassinés en haine de la foi, reconnus aujourd’hui comme martyrs par l’Église. Quelle est la portée historique et ecclésiale de cette béatification ? Quel a été le rôle du scoutisme dans leur parcours personnel, et le don de leur vie ? Qu’est-ce que ces jeunes scouts bientôt béatifiés peuvent nous dire aujourd’hui ? Trois questions à Paul Dupont, archiviste-documentaliste aux Scouts et Guides de France (SGDF).

In Hoc Signo Vinces, il s’agit de la célèbre phrase tirée du récit de la conversion de l’empereur Constantin, « Par ce signe tu vaincras ». C’est en effet sous son règne, au IV siècle, que l’empire romain s’est peu à peu converti au christianisme, que « le monde antique est devenu chrétien ». Au fil de cette émission, en compagnie d’Hervé Inglebert, professeur d’histoire romaine, et de Paul Mattei, professeur émérite des universités, Christophe Dickès revient sur les véritables retentissements des moments clés de cette période, marquée par deux édits ; celui de Milan en 313 et celui de Thessalonique en 380.

Après trois mois de route à travers la France, la Fondation Saint Matthieu a clôturé son "Relais des Régions" le 26 novembre à Coutances. Cette tournée de douze étapes a permis à l’organisation de rencontrer élèves, parents, enseignants et anciens élèves des établissements qu’elle soutient. Reconnue d’utilité publique depuis 2010, la Fondation accompagne les écoles catholiques dans leurs projets de rénovation et les aide à mobiliser des ressources financières. Au lycée Jean-Paul II, dernier arrêt du périple, elle a notamment financé la rénovation d’un gymnase. Un soutien vital pour les établissements ruraux et isolés, confrontés à des défis budgétaires croissants. Découvrez comment cette fondation redonne des ailes aux projets éducatifs sur tout le territoire.

Comment conjuguer foi chrétienne et participation active à la société ? La Doctrine sociale de l’Église invite les chrétiens à suivre la voie de l’engagement comme réponse à un double appel : celui du citoyen et celui du chrétien. À travers leurs expériences professionnelles et leur implication dans l’Église, Johan Glaisner, directeur général adjoint de l’Ircom, docteur en sciences de gestion et responsable du Parcours Zachée en France, et Yann de Feraudy, président de France Supply Chain et ancien sous-marinier, montrent comment la participation à la vie économique, politique et sociale peut devenir un authentique chemin de sainteté. Une émission présentée par Amaury Guillem.

A quelques jours de l’arrivée au Liban du pape Léon XIV, Églises du monde revient sur les enjeux spirituels et politiques de cette visite très attendue dans un pays marqué par la crise, l’instabilité et les tensions régionales. Notre invité, Antoine Fleyfel, directeur de l’Institut chrétiens d’Orient, décrypte la situation des communautés chrétiennes, le rôle essentiel de l’Eglise catholique face aux défaillances de l’Etat et son plaidoyer en faveur de la paix malgré les crises multiples.

Le plus important lorsque nous sommes proches du désespoir, est de pouvoir sentir, non pas si Dieu nous parle ou s’il ne nous parle pas, mais où Dieu est en train de nous parler. Car il nous parle toujours, à un moment ou à un autre. Telle est sa fidélité.

Ce soir, Bénédicte Delelis reçoit l’inénarrable José, visible sur M6 dans « Scènes de ménages » - Frédéric Bouraly à la ville. Actuellement à l’affiche de la pièce « Les grands enfants », aux côtés d’Éric Laugérias, le comédien a retrouvé le plaisir des planches et du contact direct avec le public. Dans l’écrin du studio de Lumière intérieure, il revient sur son parcours de comédien, les hasards qui l’ont mené jusqu’à la notoriété, mais aussi les fragilités qui l’accompagnent. Avec humour et sincérité, il parle sans détour de ses peurs, de ses doutes, et de ces moments de basculement où la vie vous oblige à changer de cap. Modeste, il évoque aussi les rencontres providentielles qui ont marqué sa route. Au fil de la conversation, se dessine le portrait d’un homme profondément ancré, reconnaissant envers la vie et ceux qui l’ont aidé à grandir.

Pour les couples qui n’arrivent pas à avoir d’enfant, la tentation peut être au repli sur soi, à la coupure des liens avec l’extérieur. Pourtant, le choix de s’en ouvrir à d’autres personnes peut également être un soutien bienvenu et important. Des associations, communautés religieuses ou groupes de parole proposent par exemple à des couples confrontés à la même attente d’échanger à plusieurs. Quels sont les bienfaits de ce soutien ? Comment partager sur ses peines et questions ? Pourquoi est-il parfois compliqué d’exprimer son désir d’enfant ? Témoignage et points de repère avec Constance de Régloix, fondatrice du Parcours Chemins d’Espérance.

Chaque semaine, retrouvez les dernières nouvelles des chrétiens de Terre Sainte. En partenariat avec le Christian Media Center de la Custodie de Terre Sainte : https://www.cmc-terrasanta.com/fr

En Occitanie, l’Eglise catholique dans l’Hérault se situe sur un territoire qui conjugue dynamisme économique et fragilités sociales croissantes. Mgr Norbert Turini, archevêque de Montpellier depuis 2022, expose sa vision d’une « Église de Pentecôte » fondée sur trois piliers : la fraternité, l’hospitalité, et un ministère de visitation ancré dans les réalités du terrain. Entre la Halte solidarité - rebaptisée en hommage au bienheureux Gui de Montpellier - qui célèbre ses 20 ans d’engagement auprès des démunis, et le témoignage de Mélissa, baptisée à l’âge adulte et devenue accompagnatrice de catéchumènes, découvrez comment cette Église locale accueille des dizaines de nouveaux baptisés chaque année. Une émission présentée par Honorine Grasset, qui interroge les transformations pastorales nécessaires face aux mutations sociales, climatiques et aux enjeux du ministère du prêtre aujourd’hui.

Courtes paraboles racontées par le père Pierre Trevet, prêtre du diocèse du Puy-en-Velay. Tirées des livres éponymes dont il est l’auteur, elles sont autant d’images inspirées pour goûter la sagesse chrétienne.

Qu’est-ce qu’avoir la Foi ? Pour sortir d’une conception réductrice qui présenterait la Foi comme un acquis que l’on pourrait posséder, le bibliste Régis Burnet reçoit le Père Jacques Trublet, jésuite et le Père Jean-Baptiste Edard, prêtre de la communauté de l’Emmanuel et recteur de la faculté de théologie de l’Université Catholique de l’Ouest. Ensemble, ils explorent les différents sens que la Foi recouvre, dans l’Ancien et le Nouveau Testament ; un parcours, une relation dynamique, parfois même un combat. Alors, la foi est-elle un savoir, une confiance, ou une action ?

A 7h25, KTO retransmet la messe chaque lundi, et les Laudes suivies de la messe du mardi au samedi, en direct de la basilique Notre-Dame de la Garde à Marseille. Cette retransmission quotidienne est proposée grâce au recteur de la basilique Notre-Dame, le père Olivier Spinosa, et à l’archevêque, Mgr Jean-Marc Aveline, qui ont bien voulu mettre leurs moyens en commun avec ceux de la chaîne de télévision catholique. La Bonne Mère veille ainsi, plus que jamais, sur la ville, les deux rives de la Méditerranée et le monde entier.

Marie-Noëlle Thabut lit et commente l’Évangile du 2e dimanche de l’Avent, année A : Évangile de Jésus-Christ selon saint Matthieu 3, 1-12.

Comment le diable fait-il pour nous perdre ? Comment les plus humbles font-ils pour lui échapper ? Jean-Marie Guénois interroge ses 3 invités pour comprendre un peu. Le père Jean-Baptiste Edart, doyen de la faculté de théologie de l’Université catholique de l’Ouest, spécialiste de démonologie, vient de publier « Le diable dans ses oeuvres - Comprendre l’action invisible du mal et s’en libérer » (Artège). S’appuyant sur saint Thomas d’Aquin et la psychologie cognitive contemporaine, son étude montre comment le Démon exploite les émotions et les vulnérabilités mentales, et comment son emprise empêche d’accéder à la vérité et à la conversion. Bénédicte de Saint Germain a écrit « Le club des saints minuscules, Ces gens simples qui portent l’Église », aux éditions du Cerf. Elle présente des invisibles : Christian le hippie devenu laveur d’âmes, Philothée la sacristine, Élisabeth l’infatigable bénévole, Charlotte la maman solo qui dit des chapelets, Étienne le paysan maître d’espérance... Parfois cabossés par la vie mais agrippés au manteau du Christ, ils sont là, endurants. Leur lumière chasse les ténèbres. Emmanuelle Delagrange, au Cerf, évoque une autre figure, dans « Jean de Miribel, L’aventurier de l’empire céleste ». Prêtre-ouvrier dans la France de l’après-guerre, il écouta l’appel de l’ailleurs et devint Chinois parmi les Chinois, pont entre l’Orient et l’Occident. Son idéal antidémoniaque : trouver en chacun les graines de bonté, qui étaient pour lui la marque de l’Esprit Saint. Une émission en coproduction KTO - La Procure - Le Jour du Seigneur.

KTO se mobilise pour permettre au plus grand nombre de suivre les célébrations quotidiennes des messes. Suivez en direct, tous les jours à 10h, la messe diffusée depuis Lourdes.

Le Seigneur est mon berger, je ne manque de rien.

« Qui n’est pas ivre de saint Charbel, n’est pas digne d’être Libanais ». L’expression, tirée d’une hagiographie, résume bien la dévotion que les Libanais, chrétiens, mais pas seulement, restés aux pays ou émigrés, ont pour leur saint ermite. Joseph naquit à Biqa kafrä (Nord du Liban) en 1828, dans une famille maronite et paysanne. Son père, laboureur, réquisitionné par l’administration ottomane pour mener des travaux de forces, mourra d’épuisement quand Joseph n’a que quatre ans. En grandissant, l’enfant se découvre très vite une profonde vocation pour la prière et le silence. À 23 ans, il décide de quitter le monde et de se faire ermite sous le nom de Charbel. C’est au bout de 17 ans que le père abbé du monastère Saint-Maron à Annaya accéda à sa demande. Le moine vécut encore 23 ans dans un ermitage et mourut le 24 décembre 1898. Son supérieur résuma sa vie par ces mots : « sa conduite fut plus angélique qu’humaine. » Peu de temps après sa montée au ciel, des lumières apparurent sur sa tombe. Dans les années 1950, une huile se mit à suinter de son cercueil. Très vites les pèlerins affluèrent, la terrible guerre civile qui secoua le pays, de 1975 à 1990, ne les empêchèrent pas d’accéder chaque fois plus nombreux au sanctuaire, dans la Vallée Sainte. Procession, récitation du chapelet, baisers posés sur une croix ou une image... le documentaire qui donne notamment la parole à des miraculés, rend fidèlement compte de cette profonde ferveur des libanais pour saint Charbel qui n’a rien perdu de son actualité. Saint Charbel - Un repère dans la tourmente libanaise - Une coproduction KTO/BIG COMPANY PROD 2025 - Réalisée par Fabien Collini

Vers toi Seigneur j’élève mon âme, Seigneur enseigne moi tes voies fais moi connaître ta route