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  • 19/12/2018
    Marie Noël - entre le monde et Dieu
    Marie Noël se nommait Marie Rouget. À Auxerre, où elle naquit le 16 février 1883 et où elle résida jusqu’à sa mort, à 84 ans, le 23 décembre 1967, on l’appelle toujours joliment « la fille poussée au son des cloches ». En Bourgogne, le souvenir de la vieille demoiselle est à tout jamais présent. C’est que la vie de Marie Rouget n’est pas commune. Bien longtemps, en effet, beaucoup ignorèrent que celle qui allait devenir Marie Noël, la Marie Noël qu’admirèrent Aragon, Colette, François Mauriac, Montherlant et qui obtint le Grand Prix de l’Académie française pour l’ensemble de son oeuvre, était l’auteur prolifique de récits, de chansons, de berceuses, de complaintes, de contes, de poèmes et de psaumes qui la délivraient de l’attente, des ténèbres, du doute et de l’effroi de la mort. Une vie de lutte incessante, au fil des mots, contre le mal auquel seul peut répondre l’amour. Tour à tour émerveillée, joyeuse et soumise, Marie Noël fut une catholique ardente et sincère, toute donnée à Dieu, jusque dans l’épreuve. Rebelle, elle dialogua néanmoins jusqu’à sa mort avec le Seigneur, feignant d’ignorer que, si l’on peut discuter tant que l’on veut avec Dieu, tôt ou tard, c’est Lui qui a le dernier mot. Ce film magnifique nous conte la vie hors du commun d’une fausse bigote à l’allure de redoutable « grenouille de bénitier », dont Montherlant a pu dire qu’elle était le plus grand poète français. Une inoubliable promenade sur des chemins de poésie au pays de la sérénité, dans les pas d’une grande figure du christianisme qui, s’usant le corps et l’âme, se perdit dans la vie des autres. UNE COPRODUCTION KTO/CAT PRODUCTION 2018 - Réalisé par Armand Isnard
  • 17/11/2018
    Le trône de Dieu de Beatus de Liébana
    Destinée à illustrer le Traité sur l’Apocalypse du moine espagnol du 8e siècle, Beatus de Liébana, cette enluminure du 12e siècle, fait bien davantage que reprendre les éléments du texte de l’Apocalypse. Elle l’enrichit des interprétations du moine. Et l’artiste rehausse à son tour le propos de Beatus. Alors que celui-ci est souvent confus, intriqué, l’illustrateur invente une sorte de « géométrie sacrée » faite de cercles et de plans frontaux.
  • 12/11/2018
    "Le Bon Dieu, c’est mon Père" : Méditation du père Nicolas Buttet
    Préparez-vous à la Journée Mondiale des Pauvres le dimanche 18 novembre 2018, par une série de méditation du père Nicolas Buttet. Episode 1 : "Le Bon Dieu, c’est mon Père". En partenariat avec Fratello.
  • 11/10/2018
    L’archevêque de Bangui au #Synod2018 : ensemble à l’écoute de Dieu.
    Mgr Dieudonné Nzapalainga, 51 ans, est le plus jeune des cardinaux. Il est aussi le modérateur d’un des groupes francophones du Synode. Pour KTO il évoque cette première phase des travaux et revient sur les thèmes essentiels: le témoignage des croyants, la transmission de la foi, les migrants, la colonisation idéologique et la vie affective. Avec un grand enthousiasme, il témoigne aussi de sa joie de vivre cette expérience de l’Eglise universelle et d’y porter, avec le Pape et avec d’autres, la voix des sans voix.
  • 25/09/2018
    Accueillir nos faiblesses pour laisser Dieu agir, par Mgr de Dinechin
    Face aux ténèbres, Mgr Dinechin nous invite à désirer mettre notre vie dans la lumière sous la protection de Jésus doux et humble de coeur. A la suite de Ste Thérèse de l’Enfant Jésus, ayons l’audace des grands désirs. On se rendra vite compte de notre impuissance mais au lieu de nous décourager ou de nous laisser gagner par la médiocrité, demandons à Dieu d’être lui-même notre sainteté.
  • 24/09/2018
    Messe au Sanctuaire de la Mère de Dieu d’Aglona (Lettonie)
    Voyage apostolique du Pape François dans les pays Baltes (Lituanie, Lettonie et Estonie) du 22 au 25 septembre 2018. ---- Cette célébration diffusée en direct sur KTO peut être visionnée en intégralité pendant une semaine, et à la suite de cette période, jusqu’au terme de la Liturgie de la Parole et de l’homélie.
  • 21/09/2018
    "Sa chance commence par un D comme Dieu" : Isabelle Gérez
    Fan de sport, Isabelle Gerez a excellé dans son métier de cordeur de raquettes de tennis, ce qui lui a permis de côtoyer les grands joueurs de la planète lors des tournois de Paris-Bercy et de Roland-Garros. A cette époque, à Laval, la jeune femme vit à 100 à l’heure jusqu’à un grave accident de moto. Un choc qui révèle une sclérose en plaques, une maladie auto-immune qui aurait dû l’emporter il y a 21 ans ! Aujourd’hui, Isabelle Gerez est en fauteuil roulant sur le plateau d’Un Coeur qui écoute. Avec son regard pétillant et sa douce voix, l’ex-cordeuse raconte ce revers gagnant : cet accident et cette maladie qui lui ont permis de découvrir le Christ et Son amour qui la fait vivre jour après jour. Un témoignage qu’elle a donné lors de conférences mais aussi dans un livre percutant intitulé « Ma chance commence par un grand D », aux éditions Nepsis-Pare.
  • 26/07/2018
    ZIZA FERNANDES - Ce qui plaît à Dieu
    Ziza Fernandes a déjà chanté sur de nombreux albums qui ont rencontré un grand succès au Brésil, sa terre natale. L’artiste chrétienne est venue sur le plateau de KTO et elle chante pour DIeu.
  • 10/07/2018
    Le projet de Dieu abîmé par le péché
    Rupture avec Dieu, le premier péché a comme première conséquence la rupture de l’harmonie originelle entre l’homme et la femme. Leur attrait mutuel, don du Créateur, se change en rapports de domination et de convoitise. De compagne de l’homme, dotée d’une égale dignité, elle apparaît de plus en plus subordonnée à l’homme ; le mariage devient une espèce de structure d’autorité de type patriarcal, destinée principalement à la perpétuation du clan. Le Christ redonne son vrai sens au mariage, en en faisant un sacrement, signe de l’amour sans faille de Dieu pour nous.
  • 08/07/2018
    "La grâce de Dieu surprend ..."Angélus du 8 juillet 2018
    S’appuyant sur l’Évangile du jour (Marc 6, 1-6), le Pape a rappelé comment les habitants de Nazareth passèrent de l’émerveillement à l’incrédulité à l’écoute des enseignements du Christ. Un changement d’attitude qui s’est opéré dès lors qu’ils apprirent que celui qui prêchait n’était que ce «simple charpentier, fils de Marie» qu’ils avaient vu grandir. Pour ces Galiléens, Jésus est d’abord charpentier, «il n’a pas étudié», mais pourtant «il prêche mieux que les scribes et fait des miracles», souligne François, didactique. Hélas, poursuit le Pape, «au lieu de s’ouvrir à la réalité, les habitants de Nazareth sont scandalisés, car selon eux, Dieu est trop grand pour s’abaisser à parler par la voix d’un homme aussi simple». Jésus devient alors pour eux «le scandale de l’Incarnation», «l’événement choquant d’un Dieu fait chair, qui pense, travaille, agit, aime, mange et dort comme un homme»... «Le Fils de Dieu bouscule tous les schémas humains: ce ne sont pas les disciples qui lavèrent les pieds du Seigneur, mais le Seigneur qui lavait les leurs», devenant ainsi cause de scandale et d’incrédulité, affirme le Saint-Père, «à toutes les époques, même aujourd’hui». Ce renversement fait par Jésus nous engage donc tous aujourd’hui «à une vérification personnelle et communautaire», car il peut arriver à tous de nourrir des préjugés qui nous empêchent de saisir la réalité. Et c’est justement le Seigneur qui invite à adopter au contraire une attitude d’écoute humble et d’attente docile, «car la grâce de Dieu se présente souvent de manière surprenante, qui ne correspond pas à nos attentes». «Dieu ne se conforme pas aux préjugés», a insisté le Souverain pontife depuis la fenêtre du Palais apostolique. L’importance de la foi prend ici tout son sens. Pour le Saint-Père, «beaucoup de baptisés vivent comme si le Christ n’existait pas, répétant les gestes et les signes de la foi, sans parvenir à une réelle adhésion à la personne de Jésus et de son Évangile», a-t-il déploré, souhaitant de tout son coeur que Dieu parvienne «à dissoudre en chacun la dureté de coeur et l’étroitesse des esprits».
  • 03/07/2018
    Le Mariage dans le projet de Dieu
    Avant d’être un sacrement, le mariage est d’abord une réalité naturelle, puisqu’il existe dès l’origine de l’humanité, bien avant que le Christ n’en fasse un sacrement. Il nous faut donc comprendre ce qu’est le mariage dans le projet de Dieu, quand Il crée l’être humain homme et femme, pour mieux découvrir ensuite ce que signifie le mariage chrétien, ce qu’il apporte de spécifique par rapport au mariage naturel. Et pour cela, il nous faut aller voir ce qu’en dit l’Écriture sainte : l’égalité parfaite entre l’homme et la femme, leur complémentarité, leur création pour être une aide mutuelle et vivre en communion, aimer et être aimé.
  • 22/06/2018
    Frère Franklin Armand : Révolutionnaire paisible au service de Dieu
    Non, la misère n’est pas une fatalité. Non, la misère n’a pas été voulue par Dieu pour ses enfants haïtiens. Fort de sa Foi en Christ et de son engagement dans l’Église à l’âge de 17 ans, le Frère Franklin a fondé une congrégation de Petits Frères de l’Incarnation et cofondé celle des Petites Soeurs de l’Incarnation. Il refuse l’assistanat mais veut aider les agriculteurs de son pays à se réapproprier leur outil de travail et les jeunes à avoir un esprit d’entrepreneur. Lui-même a fait creuser plus d’une centaine de lacs collinaires qui permettent d’irriguer durant la saison sèche après six mois de pluies. Un acteur majeur de la vie d’Haïti dont le dynamisme repose uniquement sur sa confiance en Dieu.
  • 21/06/2018
    Dieu est-il pédagogue ?
    Tous les jeudis, le Collège des Bernardins propose un exposé sur une question théologique contemporaine. Intervenant : P. Jacques de Longeaux.
  • 17/06/2018
    Rester ancré en Dieu : Angélus du 17 juin 2018
    Le Pape invite à toujours rester ancrés en Dieu. En ce onzième dimanche du temps ordinaire, le Pape François a commenté l’Evangile du jour (Mc, 4, 26 à 34) : «C’est la plus petite de toutes les semences, mais quand elle grandit, elle dépasse toutes les plantes potagères». Avant la prière de l’Angélus en ce dimanche 17 juin, le Pape François a commenté les paraboles utilisées par Jésus pour parler aux foules du Règne de Dieu et des dynamismes de sa croissance. Dans la première parabole, le Règne de Dieu est comparé «à la croissance mystérieuse de la semence, qu’on jette sur le terrain, qui bourgeonne et croît » pour produire finalement une récolte, indépendamment des soins donnés par l’homme. Une image pour montrer que, comme la semence, le Règne de Dieu «fait irruption dans le champ du monde» et «se développe seul, grâce à sa propre force et selon des critères qui ne sont pas humainement déchiffrables». «Parfois l’histoire, avec ses vicissitudes et ses protagonistes, semblent aller dans le sens inverses des desseins du Père céleste qui veut pour tous ses fils la justice, la fraternité et la paix ». Cependant, poursuit le Saint-Père, ces périodes doivent être vécues comme des «saisons», en demeurant certains que le Règne de Dieu croît «de manière mystérieuse et surprenante, révélant la puissance cachée de la petite semence, et sa vitalité victorieuse». Parfois, nos histoires personnelles ou sociales «semblent marquer le naufrage de l’espérance», mais le Pape invite à «rester confiant en l’action discrète mais puissante de Dieu». Ainsi, il ne faut pas se laisser abattre dans les moments sombres et difficiles, mais rester «ancrés en Dieu, à sa présence toujours salvatrice». Une croissance imprévisible et surprenante Dans une seconde parabole, Jésus compare le Règne de Dieu à une graine de moutarde. «C’est une graine toute petite, et pourtant elle se développe de telle manière qu’elle devient la plus grande de toutes les plantes du potager: une croissance imprévisible et surprenante» précise le Saint-Père. Il appelle chacun à s’ouvrir avec plus de générosité aux plans de Dieu, individuellement ou en communauté. «Il faut faire attention aux petites et grandes occasions de faire le bien que le Seigneur nous offre, en nous laissant nous impliquer dans ses dynamiques d’amour, d’accueil et de miséricorde envers chacun.» Pour conclure, François rappelle que c’est la prise du conscience du fait d’être des «instruments petits et faibles dans les mains de Dieu», qui permet d’accomplir de grandes choses. Prière pour le Peuple Vénézuélien Après la prière de l’Angélus, le Pape a évoqué la béatification samedi 16 juin dans la capitale du Venezuela de Mère Carmen Rendíles Martínez, fondatrice de la congrégation des Siervas de Jesus de Venezuela: «une fidèle disciple du Seigneur» qui, au siècle dernier, «a servi avec amour dans les paroisses, les écoles et auprès des plus démunis». Il a demandé aux fidèles de confier leurs prières pour le peuple vénézuélien à l’intercession à la nouvelle bienheureuse. Manifestant sa préoccuption pour la situation dramatique des populations du Yémen, le Pape a également appelé à la communauté internationale pour qu’elle parvienne à convaincre les parties prenantes au conflit à s’assoir à la table des négociations pour éviter que la situation n’empire. Il a récité avec la foule un Ave Marie pour le Yémen. En perspective de la prochaine Journée mondiale des réfugiés, le Pape a aussi dit espérer que les Etats impliqués dans les consultations onusiennes sur les migrations puissent adopter d’ici la fin de l’année, avec reponsabilité et humanité, le Pacte mondial sur les réfugiés ainsi que celui pour une migration sûre, organisée et légale. Il invite également chacun à un moment de rencontre avec les migrants, car c’est dans le «respect réciproques» que se trouve la solution à tant de problèmes.François a rappelé que c’était la fête des pères pour lesquels ils faut prier.