La France a la réputation d’être un pays difficile à réformer. Et parmi les nombreux points d’achoppement qui existent, figurent les fameux acquis sociaux. Ces droits collectifs acquis par les salariés en matière de retraite ou de temps de travail sont souvent perçus comme des avancées en matière sociale. Mais quand ces acquis deviennent des bastions imprenables peut-on encore parler de progrès ? Faut-il pour réformer la France renoncer à certains acquis sociaux ? Réponses avec Jean-Eudes Tesson, chef d’entreprise et Joseph Thouvenel, vice pdt de la CFTC.
La vie concrète des entreprises et des salariés est débattue à la lumière de la pensée sociale de l’Église par Joseph Thouvenel, vice‑président de la Confédération française des travailleurs chrétiens, et Jean‑Eudes Tesson, chef d’entreprise. Animé par Priscilia de Selve.
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