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  • 21/09/2024
    QCM septembre 2024 (3/4)
    Un jeu de connaissances auquel les téléspectateurs de toutes générations peuvent participer. Trois candidats viennent chaque semaine tenter de se qualifier pour la finale du mois. Écritures, Histoire de l’Église, saints et témoins de la foi... L’occasion de tester - et d’enrichir ! - ses connaissances en s’amusant, sous la conduite souriante de Jérémy Côme.
  • 20/09/2024
    Entretien exceptionnel avec Andrea Riccardi, fondateur de la communauté de Sant’Egidio
    La Rencontre annuelle internationale pour la Paix, promue par Sant’Egidio depuis 38 ans, fait étape pour la première fois à Paris du 22 au 24 septembre 2024 sur le thème « Imaginer la paix ». Trois jours de rencontres, de débats, de tables rondes consacrés au dialogue entre chercheurs de paix de tous horizons. A cette occasion, Andrea Riccardi, fondateur de la communauté de Sant’Egidio et historien renommé, a accordé un entretien à KTO. Il y revient sur l’histoire de sa communauté, les « 3P » qui en sont les piliers : la prière, les pauvres et la paix. Il évoque aussi le sens de ces rencontres internationales, le rôle des religions au service de la paix, le choix de Paris pour l’édition 2024. Et, plus largement, il partage ses impressions sur les conflits d’aujourd’hui, la nécessité de continuer à rêver de la paix, et la mission de l’Eglise catholique qui, « malgré ses faiblesses reste un phare d’humanité ». Rencontre avec un homme dont l’espérance demeure vive. Un entretien avec P. de Saint Pierre.
  • 17/09/2024
    Constantinople 1453, La Ville est tombée !
    « Certains attendent encore que le prêtre qui célébrait l’office au moment de l’irruption des janissaires dans Sainte Sophie et qui trouva refuge dans le mur de la basilique, grâce à une porte devenue invisible, ressurgisse et reprenne la cérémonie interrompue ». (Dernier paragraphe du livre de Sylvain GOUGUENHEIM). 1453 ! Une date fatidique qui marqua la chute de l’Empire byzantin et changea l’ordre géopolitique de la Méditerranée, de l’Europe et du monde. Le 29 mai 1453, un mardi, assiégée par les troupes turques du Sultan MEHMET II, Constantinople, la Nouvelle Rome, Capitale millénaire de l’Empire Byzantin, tombe aux mains des Turcs. Après une résistance héroïque de 7000 hommes défendant la Ville Reine pendant 55 jours, le sultan MEHMET II accomplit son rêve obsessionnel, et entre dans la ville longtemps désirée, en conquérant. Pour parler de ce séisme géopolitique de grande ampleur dont les effets continuent à être ressentis jusqu’à nos jours, Carol SABA reçoit Sylvain GOUGUENHEIM, professeur d’histoire médiévale à L’École normale supérieure de Lyon, qui vient de publier « Constantinople 1453 » aux Éditions Perrin, Ministère des Armées, Collection Champs de Bataille. Il sera question des facteurs contextuels lents et d’accélération de la chute de la capitale de la chrétienté byzantine, mais aussi du déroulement du siège de la Ville Reine et de sa chute, et enfin, de l’impact de l’Après, c’est à dire « Constantinople après Constantinople », pour visiter les dimensions de l’Interprétation et de la Mémoire de cet évènement capital de la chute de Constantinople, devenue Istanbul, à savoir, en grec, « EIS TIN POLIN », qui signifie « à la ville ».
  • 14/09/2024
    QCM septembre 2024 (2/4)
    Un jeu de connaissances auquel les téléspectateurs de toutes générations peuvent participer. Trois candidats viennent chaque semaine tenter de se qualifier pour la finale du mois. Écritures, Histoire de l’Église, saints et témoins de la foi... L’occasion de tester - et d’enrichir ! - ses connaissances en s’amusant, sous la conduite souriante de Jérémy Côme.
  • 14/09/2024
    Le Paiement du tribut
    Considérée comme le chef-d’oeuvre qui donna à l’art italien le goût pour les volumes et le naturalisme, cette fresque imposante constitue aussi un petit mystère. Comment Tommaso di Ser Giovanni di Mòne Cassài, connu sous le nom de Masaccio, ose-t-il prendre autant de liberté avec la narration biblique ? En effet, l’évangile de Matthieu évoque le versement du tribut au Temple, une taxe prescrite dans la Loi que Pierre lui conseille d’acquitter. Or, Masaccio raconte une autre histoire. Au centre, le collecteur ressemble plutôt à un péager puisque d’une main il désigne la porte de la ville et de l’autre demande un droit d’entrée. Pierre ne semble pas ravi de l’ordre impérieux de Jésus, alors que dans l’épisode, c’est lui qui poussait à ce que l’on paie l’impôt. Que comprendre ? Entrons dans l’image...
  • 12/09/2024
    L’Eglise à l’origine de l’hôpital
    Dans la très longue histoire du cinéma et de la télévision, la religieuse qui est au chevet du malade constitue une image classique que l’on retrouve dans de nombreux films. Ce cliché confirme que même l’industrie cinématographique a compris une réalité : celle que l’hôpital est une institution intimement liée au christianisme. Ce nouveau numéro d’"Au Risque de l’Histoire" propose de comprendre pourquoi ces liens sont si importants et se penche sur l’apparition des premiers hôpitaux et du contexte dans lequel ils se sont développés. "Il faut comprendre que les monastères ont une puissance, pourrait-on dire, capitalistique. Ils forment des collectivités, possèdent des terres, recueillent des dons importants et reçoivent parfois des legs de familles nobles, importantes. C’est cet ensemble de sources de revenus et cette organisation qui donnent les moyens, à ces monastères, de pourvoir aux besoins supplémentaires, en particulier de santé, des plus pauvres", expose François-Olivier Touati, Professeur d’histoire médiévale à l’Université de Tours. "La communauté hospitalière est bien souvent religieuse et dépend alors d’une structure toujours placée sous l’autorité de l’évêque. Au fond, il s’agit d’une communauté religieuse ordinaire, qui suit une règle et obéit à des voeux auxquels s’ajoute l’obligation de devoir soigner les malades et accueillir les passants", poursuit Catherine Geleyn, sociologue, chercheuse.
  • 11/09/2024
    Singapour : lever la suspicion vis-à-vis des religions
    Le pape François est arrivé à Singapour ce mercredi 11 septembre 2024, où la multiculturalité est constitutive de l’histoire du pays. La devise du voyage "Unité, Espérance" souligne la contribution que l’Eglise catholique souhaite apporter à la société singapouraise. "L’enjeu pour Singapour, c’est d’arriver à rester ensemble" explique Michel Chambon, anthropologue et théologien, chercheur à l’Université nationale de Singapour. La visite du Pape peut contribuer à lever la suspicion des autorités vis-à-vis des religions, afin qu’elles puissent être considérées comme une chance pour le pays.
  • 10/09/2024
    Colloque IHEMR "Fait religieux au travail" (1/2)
    Nous vivons une fracturation et une polarisation du corps social et politique qui, légitimement, suscite de grandes inquiétudes. Si la vie en société déteint sur l’entreprise, vivre en société, devenir un adulte responsable, s’apprend pour une large partie en entreprise même si ce n’est pas son objet premier. Et l’entreprise peut devenir, volontairement ou non, un milieu fermé ou veillant à l’ouverture autour d’une histoire, d’un projet et de valeurs. Dans le public, le devoir de neutralité de l’Etat homogénéise normalement les choses sur ce sujet. Dans le privé, la liberté des entrepreneurs est réelle, alors comment trouver l’équilibre pour chacun, dans le respect du droit ? Colloque sur « Le fait religieux au travail ». "L’Etat du droit et de la jurisprudence" et "La religion au travail" avec Théo Albaraccin, Françoise Salomon et le Pr. Lionel Honoré. Enregistré le 26 juin 2024 au Collège des Bernardins (Paris).
  • 08/09/2024
    Les béguines
     Version podcast disponible
    Cette semaine, la Foi prise au mot accompagne la venue du Pape en Belgique en présentant l’un des grands moments de l’histoire spirituelle de ce pays : celui des béguines et des bégards. Une forme de spiritualité qui paraît d’une étonnante modernité. Ces laïcs, souvent des femmes, vivaient en communauté mais en conservant leur indépendance, souvent au sein de magnifiques regroupements de maisons, dont certains ont été conservés, comme à Bruges ou à Gand. Quelle est l’origine du mouvement ? Quelle est sa spiritualité ? Quels sont ses échos à travers l’histoire et qu’en reste-t-il aujourd’hui ? "Ce qui choque beaucoup, c’est que ce sont des femmes laïques qui n’ont pas prononcé de voeux et qui restent dans la ville. De sorte qu’elles ont certes des protecteurs mais rencontrent aussi beaucoup d’hostilité dès le départ", analyse Sylvain Piron, historien, directeur d’études à l’EHESS. "Si l’époque est assez sombre, marquée par des changements climatiques, des vagues de peste et des guerres, les béguines, elles, ne sont pas tristes ! Elles développent toute une théologie de l’amour de Dieu qui reprend très largement les termes et les concepts de l’amour courtois. À leurs yeux, il y a donc une courtoisie à l’égard de Dieu mais aussi de la part de Dieu à l’égard des hommes", explique à son tour Jean Devriendt, chercheur à l’Université de Lorraine.
  • 07/09/2024
    QCM septembre 2024 (1/4)
    Un jeu de connaissances auquel les téléspectateurs de toutes générations peuvent participer. Trois candidats viennent chaque semaine tenter de se qualifier pour la finale du mois. Écritures, Histoire de l’Église, saints et témoins de la foi... L’occasion de tester - et d’enrichir ! - ses connaissances en s’amusant, sous la conduite souriante de Jérémy Côme.
  • 07/09/2024
    Pourquoi des saints ?
     Version podcast disponible
    Alors que l’Eglise fête la Toussaint, La Foi Prise au mot propose d’aborder une question en apparence naïve, mais qui se révèle bien plus profonde qu’elle n’y paraît : à quoi servent les saints ? À protéger notre vie comme notre saint patron ? À résoudre les cas désespérés comme sainte Rita ou à retrouver les objets perdus comme saint Antoine de Padoue ? Sont-ce au contraire des modèles de comportements et de foi comme Carlo Acutis ? Mais que dire de ces personnes hors normes, auxquelles personne ne peut jamais espérer ressembler, tant ils ont bouleversé leur époque et peut-être même toute notre civilisation comme saint François d’Assise ? "Ce qui est intéressant, c’est qu’un saint mort, ça n’existe pas ! Par définition ce qui fait le saint, c’est qu’après son existence terrestre, il est vivant auprès de Dieu. Il y a une très forte continuité entre ce que pouvait faire le saint de son vivant et ce qu’il peut faire au ciel auprès de Dieu", souligne Marie-Céline Isaïa, Professeur d’histoire médiévale à l’Université Lyon 3. "La définition et les critères de la sainteté ont bien sûr variés selon les époques. Mais fondamentalement, on retrouve toujours l’idée d’une personne admirée pour sa piété, sa dévotion, en bref sa relation particulière avec Dieu’’, rappelle Damien Labadie, Chargé de recherche au CNRS.
  • 06/09/2024
    Liturgie, Tradition et histoire
     Version podcast disponible
    Cette semaine, La Foi Prise au mot propose de parler de liturgie en posant la question qui fâche : quelle est la messe de toujours ? Est-ce celle qu’on nomme la messe en latin, la messe tridentine, formalisée au 16e siècle ? Ou bien est-ce celle de Paul VI, formalisée dans les années 1960, mais qui inclus d’antiques prières ou des rites très anciens ? Plutôt que de lancer un nouveau dialogue de sourds, cette émission tente de prendre un peu de recul sur les débats qui depuis le concile Vatican II ont agité les esprits, particulièrement en France, en s’intéressant à l’histoire de la liturgie. Comment les différents rites sont-ils nés, et dans quels contextes ont-ils été pratiqués ? "Nous sommes aujourd’hui une civilisation du livre, mais un élément important à prendre en compte, c’est que durant tout le premier millénaire, l’écrit est rare y compris dans l’Église. C’est donc essentiellement la tradition orale qui permet de transmettre les enseignements. Pour autant, il ne faut pas croire que pendant le premier millénaire, on se contente de tout improviser ! La tradition orale ce n’est pas non plus la liberté de tout réinventer selon sa propre fantaisie. Il y a certes une certaine souplesse par rapport à l’écrit, mais il y a aussi une forte continuité dont témoigne les différentes sources." affirme Marcel Metzger, Professeur émérite à l’Université de Strasbourg et spécialiste de l’histoire de la liturgie. "Jusqu’à la fin de la période patristique, autour du VIIe siècle, il n’y a pas vraiment de rupture du point de vue liturgique. Les différences que l’on peut observer sont surtout liées à des adaptations visant à rendre le rite accessible à des populations nouvellement évangélisées issues de cultures différentes. En revanche, à partir de la période mérovingienne, d’authentiques ruptures vont commencer à apparaître à cause des guerres qui perturbent la continuité de la transmission, qui vont entraîner des contradictions avec les enseignements des apôtres. Encore aujourd’hui, nous sommes tributaires de la synthèse qu’ont tenté d’opérer les scolastiques, à partir de compilations de sacramentaires héritées de l’aire mérovingiennes, mais dont on avait perdu le sens véritable." raconte à son tour Laurence Pringuet, Docteure en théologie catholique.
  • 20/08/2024
    « Les prêtres et religieux résistants et victimes de la bataille de Normandie »
     Version podcast disponible
    Le 8 juin 2024, père Pascal Marie, de la paroisse Notre-Dame de l’Estuaire d’Honfleur, donnait une conférence sur les religieux, prêtres, séminaristes et soeurs, du diocèse de Bayeux-Lisieux (Calvados), victimes de la Seconde Guerre mondiale. Son long travail de recherches, effectué avec l’aide de trois paroissiens férus d’Histoire, a permis de retrouver 138 noms, 138 visages. Parmi eux, on compte 19 prêtres, exécutés par les Allemands, victimes des bombardements, de la Bataille de Normandie et de la déportation, à l’image de l’abbé Jean Daligault, alors vicaire à Villerville, qui était entré dans la Résistance. À ces clercs s’ajoutent 20 séminaristes « principalement à Caen car ils s’étaient réfugiés à l’école Sainte-Marie ». Mais les victimes les plus nombreuses sont les soeurs : le père Pascal Marie a répertorié 99 religieuses tuées - des noms sur lesquels on ne s’était pas attardé durant 80 ans, citant seulement celui de leurs communautés. « Je voulais redonner une identité à toutes ces soeurs ; nous avons constitué un dossier sur chacune, avec son nom civil, grâce à internet et aux archives du Calvados, aux sites de généalogie et aux dossiers de familles. La conférence raconte ce travail, qui a abouti à la création d’un lieu mémoriel.
  • 19/08/2024
    Le Glaive de la parole
    Le bistouri du chirurgien est bien obligé de trancher dans le vif parfois pour nous guérir, pour extraire la tumeur mortelle. Tout au long de l’histoire d’Israël, la parole des prophètes a été ce bistouri engagé dans la lutte pour la vie : les tumeurs qui rongeaient Israël, comme elles rongent encore toute l’humanité, s’appelaient idolâtrie, injustice, recherche de l’argent ou du pouvoir. L’image du tranchant de la parole de Dieu dit la lutte continuelle pour libérer l’humanité de toutes ses fausses routes. Saint Paul a repris la même image pour s’adresser aux Ephésiens : « Recevez le glaive de l’Esprit, c’est-à-dire la Parole de Dieu ».
  • 12/08/2024
    L’Arbre
    En Israël, de tout temps les cèdres du Liban jouissaient d’un prestige extraordinaire. Roi des arbres, en quelque sorte, il est devenu le symbole de la monarchie. Ezéchiel prenait l’image du cèdre pour parler du roi, comme La Fontaine prenait celle du lion, roi des animaux. Et cela nous vaut, dans la bouche du prophète une magnifique parabole d’espérance : « Ainsi parle le SEIGNEUR Dieu : A la cime du grand cèdre, je prendrai une tige et je la planterai moi-même sur une montagne très élevée. Elle deviendra un cèdre magnifique. » (Ez 17,22-23). Ezéchiel prêchait pendant la période la plus terrible de l’histoire d’Israël, l’Exil à Babylone...