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"Par son histoire et sa position géographique, la Turquie a une grande responsabilité", a dit le Pape, ajoutant que "ses choix peuvent favoriser la rencontre entre les civilisations". Au premier jour de sa visite, en rencontrant les autorités civiles et religieuses du pays, le pape François a invité une fois de plus à la "rencontre". Il a affirmé vouloir poursuivre le "dialogue d’estime, d’amitié et de respect" entrepris par ses prédecesseurs, et il a félicité la Turquie pour l’aide apportée aux réfugiés. Dans l’avion qui le menait à Ankara, le Pape avait remercié les journalistes de se faire l’écho de ce message dans le monde.
