De temps en temps, mon esprit vagabonde et je pense à quelqu’un. Un ancien camarade d’école ou de travail, perdu de vue. Un ami qui m’avait confié une difficulté... Un cousin, un oncle ou une tante âgés. Quelqu’un qui a compté, mais dont je n’ai pas pris de nouvelles depuis des années. Reprendre contact paraît à la fois facile - à l’ère des smartphone - et bizarrement incongru. Pourquoi lui ou elle ? Et pourquoi maintenant ? Certes, à force de ne pas le faire, le lien sera dissous. Mais si je fais irruption dans sa vie, ne vais-je pas le déranger ? Que je pense à lui ne veut pas dire qu’il aimerait de mes nouvelles. Eh bien figurez-vous que des scientifiques se sont penchés sur ces questions. Une étude, publiée par (je traduis) la revue de la personnalité de la psychologie sociale conclut que nous avons tendance à sous-estimer le bienfait associé à la simple démarche de prendre des nouvelles d’une personne

Bonnes nouvelles d’écologie humaine

Comme le souligne le pape François dans sa seconde encyclique Laudato si’, l’écologie humaine doit être au cœur de nos priorités. Chaque semaine Tugdual Derville met en lumière, au travers d’un événement, d’une expérience, d’un témoignage, des initiatives humaines qui participent à améliorer le monde dans lequel nous vivons et montre ainsi qu’il est possible à chacun d’entre nous d’être acteur de cette transition écologique.

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