Qui aurait cru qu’il deviendrait un jour un écrivain à succès ? Certainement pas ses professeurs... Car il en a usés, Denis Tillinac, sur les bancs de l’école. Renvoyé de sept établissements, publics comme catholiques, l’amour des lettres le sauve et lui donne accès à Sciences-Po Bordeaux, puis au journalisme. De la Dépêche du Midi à Madame Figaro entre autres, sa plume malicieuse le fait connaître, ainsi que sa gouaille corrézienne. Aux côtés de Claude Michelet et Michel Peyramaure, il fait partie du courant littéraire l’École de Brive, et dirige les éditions de la Table Ronde durant quinze ans. De Denis Tillinac, on connaît sa passion pour le gaullisme (il sort en février un Dictionnaire amoureux du Général, son 32e ouvrage), son chiraquisme indéfectible (il fut le représentant du défunt président dans les instances de la francophonie de 1995 à 1998)... Mais on connaît moins l’homme. Qui se cache derrière celui publia Le Bonheur d’être réac, et dénonça récemment une « hystérie masculinophobe » dans la société actuelle ? Réponse sur le plateau de Lumière intérieure.

Lumière intérieure

La journaliste Marie Brette reçoit en plateau une personnalité et nous donne à voir sa lumière intérieure. Journalistes, chroniqueurs, auteurs, artistes, sportifs livrent leur regard sur le monde, sur la vie, leur ressort intérieur, leur raison de se lever le matin.

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