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Les mots du poète meublent le silence sans l’occulter. Ils témoignent de la présence silencieuse des êtres et des choses qui demandent à être reconnus et auxquels le poète doit faire place. Le rythme des vers invite aussi le lecteur à ralentir, à être attentif. Ainsi pourra ressurgir dans le poème tout ce que nous avions laissé de côté dans les marges du jour.
En quelques minutes, un membre de cette Académie - fondée en 2009 « pour le rayonnement du savoir et de la foi » - nous parle de son sujet de prédilection, qu'il s'agisse de médecine ou de sciences de la vie et de l'univers, de sciences humaines et sociales ou de philosophie et de théologie, des arts et des lettres ou encore de droit et de sciences économiques.
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