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La Paix ou Trêve de Dieu est souvent décrite comme un mouvement pacifique de l’époque médiévale. Du mercredi au lundi suivant, nuls combats, nulles blessures de guerre n’étaient plus tolérés, sous peine de poursuites judiciaires, voire d’excommunication. D’où vient ce mouvement ? Possède-t-il une valeur contraignante et universelle ? Peut-on dire qu’il a été rigoureusement respecté ? « A l’origine, ce n’est pas l’Eglise qui lance ce mouvement. Il y a un mouvement spirituel de fond. Retrouver la paix de Dieu c’est aussi retrouver une foi vivante, le lien aux saints », analyse Olivier Hanne, médiéviste, chercheur associé à l’Université de Poitiers. « On ne peut pas dire que ce soit un mouvement qui concerne l’ensemble de la chrétienté latine. C’est plutôt un mouvement qui concerne le Royaume de France », complète Dominique Barthélémy, médiéviste, membre de l’Institut. Ce nouveau numéro d’Au Risque de l’Histoire propose de déconstruire une image de l’Eglise médiévale surplombante, à même de contrôler tous les aspects de la société.

Au risque de l’histoire

Le journaliste Christophe Dickès, et ses invités se penchent sur des moments-clés de l'Histoire de l'Eglise, pour en exposer, de manière aussi claire que précise, les enjeux et les faits.

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