En 1986, Fouad Hassoun perd la vue dans un attentat au Liban. Il n’a que 17 ans. Luttant contre le désir de vengeance qui l’habite, il s’engage dans un long chemin de reconstruction, porté par sa foi chrétienne. C’est cette expérience exigeante qu’il raconte dans un livre plein de souffle (J’ai pardonné, éd. Mame). Ce père de quatre enfants, qui est aussi diacre et entrepreneur, n’a de cesse de témoigner de la force du pardon dans un monde où la soif d’amour est partout. « La paix construit des ponts et non pas des barricades : ce qui nous manque, c’est la rencontre, confiait-il récemment au Pèlerin. Et pour moi, en tant que chrétien, la paix, c’est Dieu. »
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