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Elle est pour les chrétiens une des trois vertus théologales avec la charité et la foi. Avant-dernière émission de cette série de Carême consacrée aux vertus, " La foi prise au mot " revient cette fois sur cette " petite fille Espérance ", comme l’appelait Charles Péguy. À coup sûr, il s’agit de la vertu la plus difficile à définir. Que signifie-t-elle et quel est son objet ? Cet objet, précisément, est-il que Dieu existe ? Qu’il nous donne le salut ? Que le monde n’est pas aussi cruel qu’il semble l’être ? Et puis, une fois définie l’espérance, une autre question : pourquoi avoir fait de cette fragile lueur une vertu ? Comment la pratiquer ? Beaucoup de questions, auxquelles répond Mgr Philippe Bordeyne, recteur de l’Institut Catholique de Paris, théologien qui en tant que moraliste (et donc connaisseur des vertus, en particulier de l’espérance) apporte son regard affuté sur cette vertu précise. Et comme pendant tout le Carême, le Père François Potez, curé de Notre-Dame-du-Travail à Paris, apporte un éclairage spirituel à cette question. Une émission cruciale pour notre temps en quête d’avenir et de paix.

La Foi prise au Mot

Dans un style simple et direct, des spécialistes, universitaires ou prêtres, dialoguent avec Régis Burnet, bibliste, en apportant des réponses aux questions que nous pouvons nous poser sur la foi, la liturgie, de grandes figures chrétiennes.

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