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Après les quatre vertus cardinales, " La foi prise au mot " poursuit sa série de Carême en s’arrêtant sur les trois vertus théologales : foi, espérance et charité. Cette semaine, Régis Burnet propose d’explorer la vertu de charité ou, pour parler simplement, de l’amour. Elle est certainement la vertu la plus multiforme. On peut aussi bien parler de l’amour que l’on doit à Dieu, de l’amour que l’on ressent pour ses proches (son mari, sa femme, ses enfants...), de l’amour pour les autres, de l’amour pour son travail, de l’amour pour la patrie ou plus modestement de l’amour pour un paysage, une maison de famille, une oeuvre d’art. Il a donc fallu faire un choix et c’est l’insistance du pape François sur le souci de l’autre qui oriente cette émission. Pourquoi notre religion insiste donc tellement sur l’amour de l’autre et surtout des plus pauvres ? Quelles sont nos pratiques ? Et surtout, quelle latitude avons-nous pour pratiquer la vertu de charité dans une société qui est censée prendre en charge les pauvres ? Nicolas Duvoux, sociologue à l’université Paris Descartes, revient sur la dimension sociale et politique de la charité. Son analyse est étayée et élargie par le Père François Potez, curé de Notre-Dame-du-Travail, à Paris.

La Foi prise au Mot

Dans un style simple et direct, des spécialistes, universitaires ou prêtres, dialoguent avec Régis Burnet, bibliste, en apportant des réponses aux questions que nous pouvons nous poser sur la foi, la liturgie, de grandes figures chrétiennes.

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