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A Rome déjà Cicéron dénonçait la corruption des gouverneurs de provinces ; sous l’Ancien Régime nos diplomates et nos rois achetaient les voix des grands électeurs aux diètes allemandes et polonaises. Les affaires de corruption recommençèrent avec le Directoire et continuèrent sous les monarchies constitutionnelles, l’Empire, les Républiques... Sujet éternellement renouvelable, que vient éclairer aujourd’hui François d’Aubert, Ancien ministre, ancien délégué à la lutte contre les paradis fiscaux.
En quelques minutes, un membre de cette Académie - fondée en 2009 « pour le rayonnement du savoir et de la foi » - nous parle de son sujet de prédilection, qu'il s'agisse de médecine ou de sciences de la vie et de l'univers, de sciences humaines et sociales ou de philosophie et de théologie, des arts et des lettres ou encore de droit et de sciences économiques.
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